1
Jan

Actus VU DU Web sur les réseaux sociaux (archives)

Bien des sujets qui faisaient le buzz et des applications et fonctionnalités qui enrichissaient les réseaux sociaux il y a quelques années semblent déjà dépassés ou obsolètes, d’autres au contraire faisaient leur apparitions pour s’imposer encore de nos jours : nous vous offrons ici un petit voyage dans le temps au travers de nos principaux articles sur les différents réseaux sociaux à la mode au cours des cinq premières années d’existence de VU DU WEB (2013-2017) ! 

Quelle application mobile choisir pour le partage de vos photos?

(Septembre 214)

Le marché des applications mobiles

Le marché des Smartphones représente 62% des utilisateurs mobiles en France. La cible à atteindre aujourd’hui passe donc forcément par les réseaux sociaux et les mobiles.

Les Smartphones sont de plus en plus performants et répondent aux besoins des mobinautes.

Une guerre des applications se livre sur les Mobile-Stores que vous soyez Team Apple ou bien Team Android.

Alors, à vos mobile-stores pour télécharger les applications d’images !

Que recherchez-vous ? Qui êtes-vous ? Quel message souhaitez-vous faire passer ?

Pour les adeptes des photos/images, retour sur les applications mobiles dédiées. Voici un échantillon des applications que devez impérativement avoir sur votre Smartphone.

Instagram

  • Nombre d’utilisateurs : 150 millions de membres dans le monde
  • Cible: tout le monde
  • Fonctionnalités : C’est une application de partage de photos prises sur l’instant.
  1. Vous sélectionnez la photo
  2. Vous effectuez les retouches grâce à l’ajout de filtres vintages et
  3. Vous la partagez sur le réseau.
  4. Vos clichés sont ensuite soumis à l’engagement de vos followers à travers une notation et des commentaires.
  • Portail de téléchargement : les Mobiles Stores – IOS, Android, Windows phone. Une application à retrouver uniquement sur Smartphone.
  • Partage sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Tumblr, Flickr

Flickr

  • Nombre d’utilisateurs : 54 millions de visiteurs dans le monde
  • Cible: tout le monde ; un public plus sensible à la photographie
  • Fonctionnalités : Une nouvelle application mobile de partage de photos et de vidéos gratuites plus pro. Tout d’abord, vous devez créer un compte Yahoo lié à votre compte Flickr. Contrairement à Instagram, les photos instantanées ne sont pas privilégiées. Il s’agit ici davantage de photos travaillées en format HD. Le procédé de publication reste le même qu’Instagram.
  • Plate-forme de téléchargement : les Mobiles Stores – IOS, Android, Windows phone.
  • Partage sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Tumblr, Flickr

SnapChat

  • Nombre d’utilisateurs : 82 millions de membres dans le monde
  • Cible: les adolescents
  • Fonctionnalités : La particularité de cette application est l’existence limitée de visualisation des photos ou des vidéos envoyées à ses destinataires. En effet, une fois ouverte, la photo disparaît entre 1 et 10 secondes.
  • Plate-forme de téléchargement : les Mobiles Stores – IOS, Android, BB OS 10, Mac OS X
  • Partage sur les réseaux sociaux : non

FrontBack

  • Téléchargement : plus d’1 million de téléchargements depuis son lancement
  • Fonctionnalités : Une nouvelle application mobile de partage de photos pour un « Selfie » plus généreux et drôle ! Vous prenez une photo en 2 fois. Vous utilisez les capteurs avant et arrière de votre Smartphone pour prendre vos clichés. Tous vos clichés sont partagés sur le réseau FrontBack.
  • Plate-forme de téléchargement : les Mobiles Stores – IOS, Android. Une application à retrouver uniquement via le Smartphone.
  • Partage sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter et Instagram

Le secteur des applications mobiles est très important, à ne pas négliger dans le plan de votre stratégie de communication digitale.

Évolution des formats de prospection : l’essor de la prospection sur les réseaux sociaux

(Décembre 2015)

La prospection en pleine mutation

Pour toute société, produire est autant nécessaire que développer son chiffre d’affaires.

Se concentrer sur les clients existants est un préalable, qui peut s’avérer toutefois insuffisant à long terme. Dès lors, acquérir de nouveaux clients devient vite indispensable.

Les formats traditionnels de prospection (publipostage, téléphone, prospection terrain, ISA, etc.) ont en effet rapidement fait l’objet d’améliorations. Avec l’avènement de l’informatique et d’Internet, de nouveaux outils sont apparus. Ces outils ont transformé le quotidien de l’entreprise : améliorer l’expérience client, développer et mesurer la productivité, capter des informations clefs, sont aujourd’hui à la portée de la plupart des organisations (les outils de CRM en sont un bon exemple).

Aujourd’hui, 2 060 millions de personnes sont actives sur les réseaux sociaux (soit 68% des internautes et 28% de la population mondiale). Ainsi, toute force de vente désireuse de développer son portefeuille de clients a tout intérêt de mettre en place une méthodologie de veille commerciale sur LinkedIn, Viadeo, ou encore Facebook.

Prospecter via les réseaux sociaux implique cependant des efforts. Mettre en place une stratégie de ciblage, choisir les réseaux pertinents, définir les messages, mesurer les actions… sont le minimum pour obtenir des résultats probants. Réorienter la stratégie de prospection à moyen terme dans son ensemble peut également s’avérer payant. Communiquer en parallèle sur l’enseigne et ses produits par différents moyens (site Internet, salons, parrainage, etc.) contribuera notamment à améliorer l’impact de la prospection sur les réseaux sociaux.

Vu du Web vous propose un service inédit de prospection sur les réseaux sociaux professionnels, avec un seul objectif : acquérir de nouveaux clients. Les résultats sont très performants : en moyenne, sur 1000 demandes de contact sur les réseaux sociaux, 50% d’e-mails collectés et 4 % d’opportunités commerciales générées. La prospection sociale B2B représente donc une solution avant-gardiste et concrète aux autres solutions de force de vente externalisées ou supplétives.

L’anonymat sur le web, réelle tendance ou lubie passagère ?

(Mai 214)

Etre marqué par son empreinte numérique toute la vie et même au-delà. Voilà ce qui attend la plupart des personnes présentes sur le web.

Après la recherche effrénée de la reconnaissance et de la célébrité, apparaît une nouvelle tendance : l’anonymat.

Voici un vaste sujet que la relative jeunesse d’internet n’a pas permis d’anticiper mais qui intéresse vivement les internautes.

Envie de disparaître des écrans radars

Avant d’en arriver à être traqué à la Minority Report, certains cherchent à disparaître et à étouffer leur empreinte numérique.

De plus en plus de recommandations sortent pour pousser les gens à ne pas exposer leurs enfants sur internet. En effet, il apparaît que l’évolution des technologies digitales devrait permettre de retrouver un enfant devenu adulte.

Une sorte de paranoïa collective envahi la sphère du web, et les utilisateurs soucieux de protéger leur image.

Pourquoi ? La crainte essentielle est de se voir imputer toute sa vie des éléments qui n’ont plus lieu d’être.

L’anonymat, le point convergeant des nouveaux réseaux sociaux tendances

Comme une envie de disparaître, la nouveauté sur les réseaux sociaux est :

  • de se cacher et
  • d’être anonyme.

On trouve parmi ces nouveaux réseaux notamment :

  • Secret
  • Whisper
  • Ask
  • Yik Yak.

Leur point commun ? Cacher l’identité du contributeur.

Cependant deux critiques essentielles viennent assombrir cette quête de l’anonymat :

  • le danger réel pour les jeunes. Certains de ces réseaux sont à l’origine d’histoires dramatiques
  • se cacher pour dire ce que l’on pense n’est qu’un signe de lâcheté et certains se cachent derrière ces réseaux dans un objectif peu louable.

Ainsi le sujet de la persistance des données personnelles ne cesse de se poser conduisant ainsi à la mise en œuvre de ces réseaux à la contribution secrète.

Maîtriser l’humour pour réussir dans le Web

(Novembre 2013)

Rire. Sourire. Fou-rire. Trois mots relatifs à l’humour bons pour la santé. Mais pas que ! Il est extrêmement rare de trouver des personnes qui n’aiment pas rire. Vu du Web l’a compris et le développe au quotidien dans certaines publications humoristiques tout en donnant des informations concrètes.

Communiquer et partager sont les deux objectifs principaux d’un médial social. L’humour représente un moyen efficace pour se rapprocher de son public. Ce dernier se rappelle ainsi mieux d’une marque ou d’un produit.

L’humour, intégré à la stratégie social média

L’humour permet de capter l’attention de la communauté. La communauté se sentant impliquée, elle aura tendance à partager l’information. L’humour étant un ton général et touchant toutes les informations en rapport avec notre société, il est plus facile pour les utilisateurs d’agir sur une donnée humoristique. Un rire qui intervient suite à une blague crée un moment d’harmonie entre les gens. C’est d’ailleurs les vidéos humoristiques des marques qui sont les plus partagés. Un sourire sur le visage d’un socionaute, c’est souvent un « like », un « +1 » ou un « follow » qui s’ajoute.

Pour entrer dans une relation plus familière avec sa communauté, il est important de mettre en place une stratégie de communication autour de l’humour.

Mais pour cela, une étude de la cible est primordiale. Il faut apprendre à connaître ce qui va faire rire la cible. Ainsi, la mise en place de publications humoristiques autour de son domaine d’activité permet de construire une relation solide avec sa communauté.

L’humour avec modération : contrôler pour éviter les dérives

Les messages humoristiques doivent être maîtrisés. Il ne faut pas s’égarer dans les publications. En effet, il s’agit de véhiculer l’image d’une entreprise sérieuse, ainsi, il est important d’effectuer une mesure et un contrôle des publications humoristiques. Par ailleurs, un rythme humoristique régulier peut paraître redondant, et risque d’ennuyer l’auditoire.

Il est préférable de tester l’humour auprès de son entourage et éviter d’évoquer des sujets qui peuvent diviser ou blesser : le sexe, les questions de genre, la politique, la religion…

Les marques qui ne respectent pas les règles citées peuvent faire face à un « bad buzz », qui est un phénomène de « bouche à oreille » négatif la plupart du temps sur la toile. Ce type de mauvaise publicité est totalement nocif pour la réputation de la marque, et est parfois très difficile à ré-équilibrer.

Rendant humaniste votre marque, l’humour est un moyen de communication efficace. Vos fans sauront apprécier, en partageant vos publications. Ils se sentiront partie entière de la communauté et ils seront dans un meilleur état d’esprit pour communiquer avec votre entreprise.

L’agence Vu du Web utilise l’humour pour assurer un moment agréable à ses fans et pour stimuler la créativité de ses équipes.

Vu du Web est à votre disposition dans vos projets créatifs !

Le rôle d’un Community Manager

(Juillet 2013)

A travers cet article, nous rappellerons ce qu’est un Community Manager (CM), et son rôle au sein de l’entreprise, nous suivrons ensuite une jeune CM. Un Community Manager est un gestionnaire de communauté digitale, responsable de la visibilité d’une entreprise via l’animation des réseaux sociaux. Son rôle est de permettre aux fans de l’entreprise de se sentir plus proches de la marque et de ses intérêts.

Pour faire simple, le CM modère, partage et anime les différents comptes et pages ;pour créer une relation entre les clients et l’entreprise. Son travail repose sur différents supports : Facebook, Twitter, Instagram, Google +, blogs et forums.

Chez Vu du Web, c’est Cyrielle, jeune CM qui est en charge du client Totem Info.

Elle nous explique comment se déroule son travail. Totem Info est une société qui met à disposition, de l’information et des offres spéciales sur les loisirs et les sorties disponibles autour de soi. Les clients peuvent trouver plus de 3600 présentoirs répartis dans plus de 7 régions, de la Méditerranée à l’Atlantique. Ces “totems” contiennent une sélection des activités proposées par leurs clients.

Entreprise en phase avec l’actualité technologique et les usages, Totem Info à développé une application gratuite et mobile disponible sur Apple et sur Google Play.

En tant que community manager pour Totem Info, Cyrielle utilise différents supports et outils afin de collecter le plus d’informations possible.

Selon elle, les difficultés du métiers de Community manager sont le plus souvent :

  • réussir à engager les fans quand on est une marque qui débute sur le web
  • rester à jour sur les informations et être alerte face aux actualités
  • s’adapter à l’entreprise et à la cible (adapter son discours et ses méthodes d’approche aux clients visés)

Pour l’aider au quotidien, voici quelques-uns des outils qu’elle utilise :

  • les journaux régionaux, les actualités de sites/blogs et les radios françaises lui permettent d’établir un calendrier d’actualités et d’événements à communiquer aux internautes
  • les programmes et conseils des Offices du Tourisme des régions concernées la tiennent à jour sur l’évolution des offres proposées
  • les blogs et communautés régionales permettent de trouver des actualités insolites et peu connues
  • l’actualité et les articles de National Geographic et du magazine « Ça m’intéresse », pour garder un point de vue large
  • le programme Photoshop pour optimiser les visuels et créer des images interactives
  • les réseaux ou blogs Tumblr et Pinterest pour trouver les meilleurs visuels

Avec beaucoup de recherches quotidiennes, Cyrielle trouve les informations pour animer les différents comptes de Totem Info, afin de tenir les internautes au courant des évènements de leur région et les inviter à découvrir les bons plans que l’entreprise propose.

Vous n’auriez pas oublié Snapchat dans votre stratégie marketing ?

(Janvier 2016)

« Ce message s’autodétruira dans 10, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1, 0 ! ». Non, ne vous cachez pas sous votre bureau ou derrière votre voisin. Non, nous n’essayons pas non plus de faire un remake de « Mission Impossible » version Vu du Web. Mais, oui, cette célèbre citation peut résumer la préoccupation principale des utilisateurs de Snapchat : « Et si les photos que l’on partage pouvaient être éphémères ? ».

Une simple idée, certes, mais une idée qui séduit 100 millions d’utilisateurs quotidiennement, dont 60% ont entre 13 et 34 ans, permettant d’échanger 400 millions de photos par jour (soit plus que sur Facebook, malgré ses 1,5 milliard d’abonnés).

Avec ces quelques chiffres, on comprend aisément l’intérêt des grandes entreprises ou des grandes marques à s’immiscer dans cette application. Mais quitte à utiliser Snapchat, pourquoi ne pas l’utiliser efficacement ? Dans cette optique, nous avons choisi de vous parler de 5 exemples d’action à mettre en place sur Snapchat pour votre stratégie marketing.

Les promotions éphémères et exclusives

Ce qui fait la force de Snapchat, c’est son côté intimiste. Car, si sur Facebook ou Twitter, les informations se veulent plus formelles, ce sont les contenus divertissants qui règnent sur Snapchat. Dès lors, le message émis par la marque devra être plus créatif, personnalisé et exclusif, à l’image d’un marketing one to one. Ce constat prend encore plus d’ampleur quand on sait qu’une photo ou vidéo ne peut excéder les 10 secondes.
Exemple : véhiculer des offres promotionnelles éphémères ou des « bon plans » peut alors permettre d’accroître l’engagement de vos abonnés.

Lancement de produit

Vous allez sortir un nouveau produit ? Vous pouvez alors engager vos abonnés avant même sa commercialisation. Oui, Snapchat est une véritable application permettant d’informer sa communauté en direct. Cela devient alors un moyen idéal pour renforcer le sentiment d’appartenance à la marque. De plus, l’exclusivité de ces informations offre une véritable proximité avec les abonnés.
Exemple : créer un teaser en photo pour annoncer l’avancée d’un nouveau produit, étape par étape.

Les coulisses de la marque

Rendre une marque ou une entreprise plus humaine aux yeux des clients : voilà la tendance actuelle pour n’importe quelle entreprise depuis ces dernières années. Snapchat peut alors répondre efficacement à cette problématique. Les abonnés peuvent découvrir l’envers du décor d’une marque et comprendre à minima le fonctionnement interne de leur marque préférée. Communiquer en externe sur l’interne peut alors fidéliser la clientèle en lui offrant une nouvelle image de l’entreprise.
Exemple : véhiculer une « Story » type sur la vie de l’entreprise pendant 24h afin de renforcer son image de marque et de véhiculer ses valeurs.

Les jeux

Certes, il paraît difficile de créer des jeux ou des concours avec des snaps de 10 secondes. Néanmoins, un minimum de créativité peut permettre de contourner cette contrainte et offrir une plus-value non négligeable à une entreprise. En effet, comme nous l’avons dit plus haut, le taux d’engagement sur cette application est plus élevé que les autres applications ou réseaux sociaux.
Exemple : créer une énigme pour l’envoyer à tous ses abonnés. Les gagnants repartent avec des bons de réduction.

Les événements

À l’instar des Live Tweets qui pullulent sur la timeline de Twitter, Snapchat peut également permettre de commenter et proposer des contenus sur un événement en live, d’autant plus que sur Snapchat, les visuels ne peuvent être vus qu’une seule fois et n’encombrent pas le compte ou le profil de l’entreprise.
Exemple : véhiculer des photos ou des vidéos de l’événement et répondre aux snaps de ses abonnés en direct pour créer plus de proximité entre la marque et ses prospects/clients.

Néanmoins, une stratégie marketing ne doit pas simplement se reposer sur Snapchat. Cette application est complémentaire avec les autres réseaux sociaux pour développer une stratégie full digital efficace. Si vous souhaitez être accompagné dans la gestion des réseaux sociaux, n’hésitez pas à consulter nos prestations en community management.

Retour sur le nouvel algorithme pour Facebook

(Octobre 2013)

Début août, le réseau social n°1 au monde, a annoncé une mise à jour de son algorithme de « sujets intéressants » sur les fils d’actualités de ses utilisateurs.

Internautes Facebook

Il y a deux catégories d’internautes : les habitués Facebook et les utilisateurs ponctuels.

Ces derniers ratent régulièrement des images ou nouvelles intéressantes, car les dates de publication sont lointaines et malgré le succès qu’elles ont pu avoir, ces publications ne sont plus prioritaires sur le fil d’actualité.

Certains « post » sont également zappé car ils ne sont pas postés par des amis proches ou des gens avec qui vous interagissez beaucoup…

Le nouvel algorithme devrait changer cela, et met en avant les objets les plus pertinents afin de leur offrir une visibilité optimale.

L’algorithme

Avant, il existait la méthode de tri « à la une », mais ce système est maintenant remplacé par une remontée des publications par ordre de popularité (nombre de likes, de partages et de commentaires). Ainsi, Facebook veut proposer le meilleur du contenu, à la personne la plus adaptée et au bon moment.

Le site effectuait déjà un tri, et ne faisant apparaître que 20% du nombre total de publications quotidiennes sur le fil d’actualité de ses membres. Facebook affirme que seul 57% des publications d’un fil d’actualité normal, sont vues par un utilisateur lambda. Avec le nouveau concept, près de 70% des publications seraient alors lues, ce qui pousse le groupe à installer le plus vite possible cet algorithme sur le format mobile de sa plateforme.

Cette nouvelle méthode, supprime l’implication de l’utilisateur, et lui crée un « journal personnalisé » sans qu’il n’intervienne. Pour les internautes irréductibles, l’option de classement des publications par ordre chronologique sera toujours disponible dans le menu.

Conséquences pour les entreprises

Ces changements auront une incidence directe sur le rapport des entreprises avec le Facebook :

  • Priorité mise sur le taux d’engagement, avant l’augmentation de la portée. Utilisation du « Story bumping » qui permet à des publications organiques populaires, d’apparaître au top du fil même si elles datent de plusieurs heures.
  • Passage de 3 facteurs à 6 : avant, l’algorithme se basait sur l’affinité, le poids et le temps pour affecter la visibilité d’une publication. Aujourd’hui, la popularité d’un post passe devant le facteur temps.
  • L’effet « Last Actor » causant une sur-publication : n’apparaissant pas tout de suite en haut du fil d’actualité, les entreprises auront tendance à poster plus voire trop.
  • La publicité n’est pas affectée par cet algorithme.

Vous avez besoin d’aide sur la gestion de vos communautés sociales ? Vu du Web peut vous aider dans votre Community Management.

Réussir une Page Facebook sur mobile

(Décembre 2013)

Vu du Web, est toujours à la recherche d’informations concernant l’actualité du Web et des applications mobiles. Aujourd’hui, nous avons décidé de vous montrer comment passer efficacement de l’un à l’autre.

Facebook a incontestablement révolutionné l’univers des réseaux sociaux sur le Web. Depuis quelques temps, le géant de la Silicon Valley se développe sur le mobile. En effet, c’est plus de 751 millions d’utilisateurs qui se connectent tous les mois au réseau social, dont 189 millions uniquement depuis un mobile. D’ailleurs, grâce au mobile, Facebook devrait générer 1,5 millions de dollars de recettes publicitaires cette année.

Pour répondre à cette nouvelle donne, le groupe de Mark Zuckerberg a mis en place une série de techniques qui tournent autour de la mobilité. L’amélioration future des publicités et le nouveau design des pages mobiles grâce à Facebook Home pour Android, en est le parfait exemple.

On a testé pour vous plusieurs astuces qui permettent d’optimiser une page Facebook.

Mise en place d’une couverture adaptée

Au moment du design de la couverture, il est nécessaire de prendre en considération la position de la photo de profil. En effet, prenant ainsi plus de hauteur, elle amène un déplacement du nom de la page et de la catégorie qui s’afficheront davantage vers le milieu.

Les images doivent être bien choisies, en mettant les éléments importants au centre de la page, car la position de la photo du bureau est inchangeable sur le mobile.

Magasins, boutiques et informations de contact.

Une page d’une boutique n’est pas la même qu’une page traditionnelle. Ainsi, il est primordial de remplir correctement les emplacements dédiés aux informations de contact. L’adresse et la possibilité de contacter la boutique apparaissent en premier à l’ouverture de la page.

Développement de la publicité

Une fois créée, la page Facebook peut héberger de la publicité.

L’outil Power Editor permet de cibler la publicité pour attirer les utilisateurs du web, d’IOS ou encore d’Android.

Pour faire la promotion d’une application, il est possible de mettre en place de la publicité uniquement en direction de personnes qui utilisent des appareils mobiles connectés par l’intermédiaire du Wifi.

Comment soigner l’image de votre marque sur les réseaux sociaux

(Juin 2016)

Les réseaux sociaux personnalisent les marques. Elles doivent donc être extrêmement vigilantes quant à ce qu’elles diffusent et à la façon dont elles se comportent lors de leurs publications. Chez Vu du Web nous proposons des prestations dédiées en community management.

Voici les 5 erreurs à ne surtout pas commettre avec les deux plus grands : Twitter et Facebook.

1. Ne jamais acheter de Fans ou de Followers !

La tentation est grande, il est vrai. Cependant l’achat de like ou de follower n’est pas une bonne idée pour trois principales raisons :

  • publicité mensongère,
  • pratique à l’éthique douteuse,
  • absence de réel engagement.

Cette croissance fictive ne s’accompagne d’aucune réelle interaction. Aucun échange véritable. Vos abonnés ressemblent donc à ce qu’ils sont : de faux abonnés qui ne s’intéressent pas à vous.

2. Ne pas reprendre le contenu de ses posts dans ses tweets (et inversement)

C’est la facilité. Certes. Cependant cela ne relève d’aucune stratégie de communication. Par respect pour ceux qui vous suivent sur les deux, il est préférable d’avoir une ligne éditoriale pour chaque réseau et de s’y tenir. Ce qui apparait sur Twitter n’a pas forcement sa place sur Facebook et vice versa. C’est pourquoi il est primordial de choisir une ligne de contenu préalable.

3. Ne pas tweeter et poster en permanence

Laissez vos abonnés respirer. Gardez-vous de poster et de tweeter en continu. Pourquoi ? Parce que cette omniprésence est pénible et vous risquez de désengager des gens. Privilégiez donc la qualité à la quantité. Préférez un post pertinent par jour à 10 sans intérêt.

4. N’utilisez pas des #hashtags #à #chaque #mot

Certains en font une utilisation systématique. Pourquoi se détacher de cette habitude ? Parce que le tweet ou le post en devient totalement illisible. Attachez-vous à des hashtags pertinents et utiles qui permettront à votre publication de ressortir et d’être claire lors d’une recherche faite par l’internaute.

5. Limitez au maximum la longueur de vos publications

Si Tweeter vous limite d’office, n’hésitez pas à vous contraindre encore davantage. Il a été démontré que les publications les plus courtes étaient les plus lues. De plus, la longueur n’est aucunement signe de qualité. Soyez concis et percutant et vous aurez davantage de chances d’être lu, mis en favori ou retweeté.

Pour tout le reste, il y a Vu du Web.

Crédit photo : le nouvel économiste.

Parlez-vous Twitter ?

(Février 2014)

Twitter fait parler de lui ! Ecrire maximum 140 caractères n’est pas vraiment compliqué. A première vue ! Sauf qu’en y regardant de plus près, les échanges de « tweets » ressemblent à un langage d’initiés. Vu du web vous donne les clés pour bien tweeter.

Lexique de Twitter

  • AMHA : abréviation de « à mon humble avis »
  • Bad buzz : ou l’art de faire parler de soi en mal !
  • Buzz : nouvelle qui rencontre un gros écho et fait l’objet de nombreux tweets.
  • DM (Direct Message) est un message que l’on envoi en privé à un gazouilleur.
  • FAV : cliquer sur l’étoile signifie mettre un post en favori. C’est le nouveau RT.
  • Follower / abonné : abonné à votre flux Twitter. C’est le début de la gloire.
  • Following / abonnement : profil Twitter que vous suivez. Le mieux, c’est d’être plus suivi que d’avoir d’abonnements.
  • Follow Friday (FF) : habitude prise par les gazouilleurs le vendredi. Il s’agit de recommander à leurs followers des personnes à suivre. Un tweet Follow Friday est c’est : #FF et de la mention d’une ou plusieurs personnes. Ça permet de mettre en avant des gazouilleurs aux tweets passionnants. A quoi ça sert ? personne ne le sait.
  • FF Back : c’était déjà pas compliqué de savoir à quoi servait le #FF mais s’il faut y répondre… ! il s’agit d’un tweet envoyé en remerciement d’un Follow Friday. #FFBack suivi des adresses des comptes remerciés.
  • Happy Hump Day : ça ne s’arrête plus ! c’est une variante du Follow Friday pour le mercredi. En anglais, le Hump Day le jour du milieu. #HHD.
  • Hashtag : # permet de mieux faire remonter vos tweets dans le moteur de recherche du réseau social.
  • #JDCJDR : abréviation ironique de « Je dis ça, je dis rien ». Sauf qu’en fait, c’est justement pour relayer une info importante du type #vu_du_Web vient de publier un nouvel article dans les actus
  • Live tweet (LT) : vous n’avez pas de tv ? grâce au LT vous pouvez suivre en direct ce qu’il se passe dans votre émission préférée ! Tapez le # par exemple d’un match de foot et cliquez sur all pour voir l’ensemble des tweets.
  • RT (ReTweet) : équivalent de partager sur Facebook !
  • Timeline : c’est le fil d’actualité de vos tweets et de ceux de vos abonnés.
  • Top tweet : tweet populaire, identifié comme tel et mis en avant par Twitter . Plus un tweet est retweeté, plus il a de chances d’exploser dans les Top Tweets.
  • TT (Trending Topics) : sujets les plus abordés sur Twitter
  • Tweet : message envoyé par Twitter, comprenant au plus 140 caractères.
  • Twittos: utilisateurs de Twitter
  • Twoosh : tweet de 140 caractères exactement. #Prise de tête !
  • Via : relayer une info et citer la source on note via #lenomdutwittos
  • WTF : utilisez un traducteur anglais….

Snapchat est mort. Vive Slingshot !

(Juin 2014)

Avec le développement mobile en ligne de mire, Facebook a longtemps misé sur le rachat pour faire évoluer son offre. Certains se sont laissés racheter. D’autres ont tenu bon. Après avoir vainement tenté d’acquérir le géant Snapchat, Facebook a décidé de développer sa propre application sur le même modèle : Slingshot. Principe proche mais qui tente de se différencier, cette application permet également d’envoyer sur un mode éphémère :

  • photo,
  • vidéo,
  • dessin, ou même
  • prose.

Coup d’œil sur ce choix stratégique et sur les détails de cette application.

Pourquoi Facebook a-t-il d’abord voulu racheter Snapchat ?

Pour revenir aux fondamentaux, Facebook a auparavant tenté de créer ses propres applications pour concurrencer le géant de l’éphémère.
Il s’agissait de :

  • Camera et,
  • Poke.

Ces applications n’ont pas connu le succès escompté et ont récemment été supprimées des stores. En effet, Camera était une véritable réplique d’Instagram racheté par la suite par Facebook. Poke quant à lui a été créé lors d’un Hackaton et ses fonctionnalités n’ont pas réussi à trouver leur public.

Elles ont disparu aussi discrètement qu’elles étaient apparues.
Au-delà, Facebook en misant sur le mobile, tâche de garder auprès de lui une audience jeune qui progressivement se tourne vers des réseaux alternatifs.

Quelles sont les différences avec Snapchat ?

Sur le principe il s’agit globalement des mêmes fonctionnalités. L’application permet de prendre des photos, d’enregistrer des vidéos, d’envoyer des dessins ou d’écrire. L’affichage est éphémère. En effet une fois vues, elles sont « définitivement » effacées.
La grande différence réside dans l’engagement nécessaire à la visualisation du « shot ». En effet, les destinataires devront partager quelque chose à leur tour pour pouvoir accéder aux contenus envoyés.
Pari audacieux que celui de miser sur les échanges à double sens entre ses utilisateurs.
Affaire à suivre…

Faire des médias sociaux vos alliés

(Octobre 2016)

Les tendances d’aujourd’hui révolutionnent la façon de communiquer.

L’utilisation des nouvelles technologies, la croissance des mobinautes et des internautes, les stratégies webmarketing, montrent que l’usage des réseaux sociaux est aujourd’hui nécessaire.

Les médias sociaux représentent le meilleur moyen de faire connaître sa marque. Bien qu’il soit possible de connaître un grand succès avec le marketing des médias sociaux, il est toutefois nécessaire de savoir les utiliser correctement.

Afin de ne pas tomber dans les pièges du web, et d’éviter le bad buzz, Vu du Web vous invite à découvrir ses suggestions, qui pourraient changer votre communication sociale…

Le mot d’ordre : stratégie

Avant de commencer à utiliser le marketing des réseaux sociaux, il faut élaborer une stratégie. Quel genre de mise en page souhaitez-vous ? Qui va gérer votre page ?

Autant de questions auxquelles vous devez répondre à travers un plan d’action marketing solide : un médiaplanning fixant des objectifs clairs.

Les conseils webmarketing :

Pour obtenir de bons résultats dans l’utilisation des réseaux sociaux, il est nécessaire de créer des liens utiles qui facilitent les flux entre vos sites. Par exemple, si vous avez un compte Twitter populaire, vous aurez envie de faire un lien vers votre blog. Et à partir de ce blog, vous pouvez faire un lien avec Facebook. Au final, promouvoir votre marketing à travers différentes plateformes de médias sociaux est un excellent moyen d’augmenter la notoriété de votre marque.

Par exemple, pensez à intégrer un bouton « retweet » sur votre blog, ce qui facilitera le partage par vos followers, et ainsi atteindre un plus grand nombre de personnes. Vos pages de réseaux sociaux doivent avoir constamment de nouvelles informations et des nouveaux messages, diversifiez leur lecture, aller à l’essentiel. Les personnes qui vous suivent sont habituées à une mise à jour régulière de votre page. Les oublier, c’est les rendre infidèles. Pensez à les récompenser, les féliciter.

Le marketing des réseaux sociaux est aujourd’hui au centre du Web 2.0. Ainsi, il est nécessaire d’utiliser des widgets et des applications appropriées sur votre site.

La clé de la réussite : beaucoup de patience…

Pour réussir dans l’univers des réseaux sociaux, l’astuce est d’avoir beaucoup de patience, car il faut du temps pour gagner des partisans. Il est peu probable que vos pages bénéficient d’une attention rapide, mais il ne faut pas se décourager.

Soyez patients à toutes les intéractions : il faut prendre le temps de répondre aux personnes qui posent une question ou qui postent un commentaire. Le contact personnel est au centre du marketing des médias sociaux. Les personnes qui vous suivent ont besoin de sentir une présence, car lorsque vous vous adressez à eux, ils réalisent que l’entreprise se soucie d’eux.

  • Le marketing des médias sociaux représente une bonne nouvelle, et ceux qui en profiteront le plus sont ceux qui sauront l’utiliser efficacement.
  • Le marketing des médias sociaux révolutionne l’approche marketing traditionnelle, et permet ainsi de découvrir une utilisation nouvelle de la communication.

Instagram : publicité, vidéo et produits dérivés

(Août 2013)

Instagram est un réseau social qui s’est imposé depuis quelques années, par le développement de l’intérêt pour la photographie et l’esprit de communauté. Cette application mobile de partage de photos, et maintenant de vidéos est devenue incontournable. La caractéristique qui a fait son succès est la mise à disposition de 16 filtres, pour modifier les photos prises et les rendre « old school ».

Instagram et la commercialisation

L’application fut très appréciée pour plusieurs raisons : aucune publicité n’était visible (ce qui change des autres réseaux sociaux) et les conditions de confidentialité des photos étaient plutôt avantageuses pour les utilisateurs. Mais cela a changé, car depuis avril 2012, l’entreprise fut rachetée par le groupe Facebook. Plusieurs changements commerciaux se sont alors effectués : les photos sont maintenant « commercialement utilisables », et nous avons eu confirmation de l’arrivée imminente de la publicité.

La monétisation grandissante

Le début des vidéos mi-juin 2013 et l’arrivée des publicités, rentrent dans la stratégie de monétisation du groupe Facebook, qui souhaite rentabiliser son achat. La mise en place de ces deux fonctionnalités est un grand avantage commercial pour le réseau, car en plus de la popularité de l’application, le format en plein essor actuel est la publicité vidéo.

La marchandisation

Tout est question d’argent… oui, mais jusque-là nous pensions avoir affaire à un géant de l’internet et seulement du net ! C’était sans compter sur l’esprit commercial du groupe Facebook. En effet, Instagram et Polaroid s’associent pour lancer le Socialmatic LLC, un appareil photo avec écran tactile, double objectif et connection. Il est petit et permettra de faire un lien entre le matériel et l’immatériel, grâce à son objectif avant de 14 mégapixel et sa caméra secondaire de 2 MP. Cet appareil photo connecté au réseau (Wi-Fi et Bluetooth) est prévu pour début 2014 à 299$.

Facebook NDM fait le buzz

(Juin 2016)

Vous qui êtes des fidèles utilisateurs du réseau social N°1, vous avez peut être suivi depuis hier l’idée qui fait le buzz sur Facebook depuis quelques jours. Les meilleurs buzz partent souvent d’une idée très simple et là pour le coup on ne peut pas beaucoup faire plus simple comme concept. Null besoin d’application sophistiquée, ou de jeux concours, ou même de campagne média, seule l’idée suffit à retourner Facebook et à gagner 100 000 nouveaux fans en une journée. Voici donc le cas d’école pour tous les apprentis Community Manager : voici : Nuit de Merde.

Qu’est ce que Nuit de Merde ?

Comme son nom l’indique, c’est pour ceux qui passent une mauvaise nuit et le disent. Ils le disent où : sur une page facebook nommé : Nuit de Merde. Enfin pas exactement, le principe c’est que chaque fan de cette page (montée avec 2 visuels et une idée géniale, par qui ? Nous aimerions le savoir, et faire l’interview de celle ou celui qui a eu cette idée) raconte dans les moindres détails ses pires souvenirs coquins et ses copulations sans émotions, le tout de manière anonyme.

Pourquoi Nuit de Merde fait le buzz sur Facebook ?

Parce que Nuit de Merde fait le mix entre plusieurs choses qui fonctionnent sur facebook, à savoir :

  • Un sujet qui marche à tous les coups : le sexe
  • Un visuel (en couverture) simple et percutant à la fois et très en vogue avec les usages du moment
  • Une description qui va à l’essentiel et qui pose le tableau
  • Une approche anonyme qui est essentielle ici : personne ne sera reconnu (c’est ca oui …)
  • Enfin une cible bien définie et qui percute sur ces sujets : les jeunes

Quelle est la recette du buzz de Nuit de Merde sur Facebook ?

La proximité avec VDM (du moins dans le nom et le concept). La stratégie virale utilisée est géniale : une cible identifiée qui est : les jeunes et une idée et un discours très proche des précédents Spotted : la mécanique s’appuie donc sur des partages de page dans les Spotted entre autre, et à grande échelle.

Nuit de Merde chronologie d’un gros buzz sur Facebook :

  • 30 mai 2013 : création de la page Facebook : Nuit de Merde
  • 30 mai 2013 : 4 posts et la mayonnaise a déjà pris avec des 300 à 400 j’aime par post ainsi que 5 à 6 commentaires
  • 31 mai 2013 : 11 posts : c’est la montée en puissance : 400 à 700 j’aime par post et entre 10 et 40 commentaires
  • 1 juin 2013 : 7 posts 2 juin 2013 : 9 posts
  • 3 juin 2013 : 12 posts …..
  • 10 juin 2013 : 9 posts : entre 3000 et 7000 j’aime par posts, entre 40 et 50 partages par posts et entre 30 et 40 commentaires par posts : Bilan en ce lundi 10 juin : 100 000 fans
  • 11 juin 2013 : 4 posts : de 3000 à 9000 like par publication
  • Aujourd’hui : 11 posts et ça s’emballe encore sur les like, les partages et les commentaires : bilan en ce mercredi 12 juin 15h00 : 242 077 fans dont 20 461 en parlent

Que retenir du buzz Nuit de Merde sur Facebook ?

  • Qu’une bonne idée ne coute pas cher et qu’elle peut rapporter très gros
  • Qu’une page avec une cible bien identifiée et un contenu adapté est une des clés de la réussite
  • Qu’une mécanique de viralité basée sur des partages sur d’autres groupes ou pages ciblées est une idée à suivre par tous
  • Que respecter les règles de base du Community Management n’a pas toujours vraiment d’intérêt
  • Que créer des onglets dynamique, donner une url dédié à sa page, soigner les descriptions, etc etc n’est pas nécessaire ici
  • Et que chez Vu du Web on se creuse la tête toute la journée pour avoir des idées géniale pour nos clients.

Alors Nuit de Merde risque bien de faire couler beaucoup d’encre, risque aussi de déranger, mais on ne pouvait que souligner ici ce beau succès qui permet à une page de passer de 100 000 à 200 000 fans en une journée et ceci sans achat de publicité ou de stock de fans vérolés. Un seul mot : BRAVO. Et si l’auteur de Nuit de Merde passe par hasard sur cet article, la porte est ouverte pour une interview .

Bonne nuit à tous !

La conquête de Facebook continue. Nouvelle acquisition : LiveRail !

(Juillet 2014)

Il semblerait qu’après ses nombreux rachats et ses créations (comme le cas récent de Slingshot) Facebook continue son immense diversification. Aujourd’hui nous vous présentons LiveRail, sa nouvelle acquisition. Pour un montant non divulgué, le géant américain du réseau social s’oriente vers la publicité ciblée.

  • Qui est Liverail ?
  • Pourquoi Facebook a-t-il fait ce choix ?

Quel est le secteur d’activité de Liverail ?

Cette start-up californienne est l’un des leaders des régies de vidéos programmatiques outre-Atlantique. La mission de Liverail est de proposer des impressions vidéo ciblées sur une audience précise. Les contenus sont donc diffusés pour une efficacité maximale.

Pour les annonceurs, Liverail s’est spécialisé dans la publicité en RTB (Real Time Bidding). Ainsi, il est possible de cibler l’audience en liant le tarif à la pertinence souhaité. Le RTB est le moyen le plus efficace pour diffuser une annonce au plus juste.

Le secteur du RTB est en plein essor et Facebook en a visiblement pris conscience.

Facebook s’inscrit sur le secteur de la vidéo

L’objectif de Facebook : monétiser son audience vidéo et créer une plateforme dédiée à la diffusion vidéos pour les annonceurs.

Facebook compte s’appuyer sur cette nouvelle acquisition pour développer ce secteur et ainsi renforcer son offre de vidéos publicitaires Autoplay. En effet, depuis mars dernier, des clips vidéo de 15 secondes apparaissent dans les fils d’actualités des utilisateurs. Liverail devrait aider Facebook à rendre ces vidéos plus intéressantes et plus incitatives.

Liverail en chiffres :

  • 170 employés
  • 7 milliards de publicités vidéo diffusées
  • 3e dans le secteur de la publicité vidéo

Et si le live streaming était la nouvelle avancée des réseaux sociaux ?

(Février 2016)

À l’instar de Twitter, Facebook vient de lancer sa nouvelle fonctionnalité de live streaming, disponible sur son application mobile. Alors oui, si vous êtes un aficionados du web et de ses applications, vous en avez sûrement entendu parler. Par contre, si vous ne suivez pas l’actualité numérique, nous allons prendre quelques lignes pour vous résumer cette nouvelle tendance du social media : le contenu live.

Periscope de Twitter

Racheté par Twitter en mars 2015, Periscope est une application de partage vidéo en direct. L’idée est simple : offrir un contenu unique en live streaming partout dans le monde et directement diffusé et accessible depuis le réseau social Twitter. Même si vos abonnés sont alertés à chacune de vos sessions vidéos, vous pouvez configurer votre live pour qu’il soit disponible pour n’importe quel utilisateur. Ces derniers peuvent alors commenter en direct votre vidéo et la noter. Une interaction en direct qui semble séduire de plus en plus d’abonnés puisqu’elle vient d’être élue meilleure application de l’année 2015 en décembre dernier par Apple. Rien que ça.

Live Video de Facebook

D’abord proposé aux célébrités depuis l’année dernière, Facebook veut désormais déployer sur son application mobile Live Video, une fonctionnalité de live streaming, à tous ses utilisateurs. Même si les États-Unis sont les premiers à pouvoir l’utiliser via un leur Iphone, Facebook promet le déploiement “dans le reste du monde dans les semaines à venir”. Cependant, cette nouvelle n’a pas laissé de marbre les Français et notamment Jean-Louis Aubert, l’ancien chanteur du groupe Téléphone, proposant un live vidéo de 40 minutes depuis son salon jeudi dernier. Ce concert privé, suivis par 12 000 personnes en direct et toujours disponible sur sa page Facebook, atteste des diverses possibilités de cette nouvelle fonctionnalité.

Le live streaming : LA fonctionnalité de 2016 ?

Dans un contexte social où le partage et la diffusion de contenu unique est devenu la clé de voûte pour séduire les internautes, le live streaming peut alors être considéré comme une nouvelle avancée des plateformes sociales. Dès lors, Periscope ou Live Video offrent un autre intérêt aux marques et aux entreprises de se fondre dans les réseaux sociaux pour fidéliser, animer et accroître une communauté. En effet, cette nouvelle fonctionnalité peut offrir le déploiement de nouvelles actions dans le community management ou le webmarketing professionnel. Vous ne voyez pas comment vous allez pouvoir vous servir de ces extensions dans votre stratégie social media ? Nous, oui ! Alors n’hésitez pas à nous contacter.

Le « trending », nouvelle fonctionnalité testée par Facebook

(Janvier 2014)

Facebook a annoncé jeudi dernier le lancement d’un nouveau service. Ce dernier consiste dans la mise en évidence des sujets les plus traités par les utilisateurs, pour in fine faire une sélection des meilleurs contenus.

« Trending », un nouvel outil pratique

Ce nouvel outil se nomme « trending » (« dans la tendance »). En haut de la colonne à droite du fil d’actualité, une liste de sujets très populaires sera proposée. Une courte description accompagnera chaque sujet.

Avant de pouvoir y avoir accès, le service demeure en pleine phase de test dans un nombre restreint de pays. Ce sont le Canada, l’Australie et les Etats-Unis qui auront le privilège d’expérimenter en premier l’outil « trending ».

Par ailleurs, des essais sont effectués par des utilisateurs de mobiles. Du coup, les utilisateurs de smartphones pourront bénéficier de cette nouvelle mesure. Cette dernière s’inscrit par une volonté du géant américain de se développer sur le canal de communication le plus en vogue du moment.

Facebook sur les traces de Twitter

« Trending » apportera un souffle nouveau au réseau social de Zuckerberg, pour qui, son principal concurrent Twitter, a déjà adopté l’outil grâce à la remontée des mots-clés les plus utilisés.

L’objectif est clairement de relancer Facebook après une perte de vitesse survenue récemment. Cette dernière s’explique par une volonté de mettre en avant les publications payantes dans le fil d’actualité. Une donne qui a fait fuir de nombreux utilisateurs vers d’autres réseaux sociaux.

Facebook cherche constamment à développer de nouvelles innovations pour garder sa place de numéro 1 dans la sphère des réseaux sociaux.

E-commerce en France un potentiel grandissant

(Juillet 2013)

L’image du e-commerce en France n’est pas toujours la meilleure, en particulier avec les problèmes de confidentialité de nos données, qui confirment un manque de confiance évident de la population pour les échanges digitaux. En effet, on entendra souvent qu’on peut y trouver n’importe qui et n’importe quoi sans contrôles, et les français sont réputés pour être méfiant : une bonne partie de la population n’utilise pas son vrai nom sur Facebook.

Qui utilise le plus le e-commerce ?

Les entreprises effectuent des achats chez des fournisseurs qu’ils connaissent, on pourrait donc croire qu’ils utilisent l’interface facilement en comparaison aux particuliers qui préfèrent voir de leurs propres yeux les objets avant de les acheter. Une étude récente* a pourtant démontré une tendance plutôt contraire, car les entreprises utilisent 51% de catalogues papier et 41% de sites internet. Le B to C quant à lui est au cœur de l’e-commerce, avec plus de 69% des français qui achètent à distance. Les vêtements, les chaussures et les accessoires en tous genres sont les produits les plus vendus sur le net, et contrairement à la mauvaise image persistante 97% des acheteurs sont satisfaits de leurs achats.

Internet, victime d’une mauvaise image

Les mauvaises surprises sont donc plus rares qu’on pourrait le penser, et une clientèle grandissante envahit le marché du net. Les entreprises françaises sont-elles prêtes à répondre à cette demande ? De façon générale, 86% des entreprises prévoient une hausse de leur présence sur internet dans les prochaines années, mais la France est en retard par rapport au reste de l’Europe : elle ne possède que 19% de ses entreprises effectuant leurs achats en ligne, bien loin du Danemark (74%) ou du Royaume-Uni (53%). Notre pays se place pourtant au 6ème rang mondial du commerce en ligne, avec plus de 117 000 sites e-marchand (dont plus de la moitié sont présents sur le réseau mondial) actuellement en activité. Le potentiel pour les professionnels comme pour les particuliers est donc très important, encore faut-il s’y préparer…

Vous voulez atteindre ces clients utilisateurs du net mais votre visibilité digitale n’est pas au top ? Vu du web peut vous aider dans votre création de site puis dans l’amélioration de votre référencement .

*Etude faite par la Fédération e-commerce et Vente A Distance (FEVAD)

Snapchat et Instagram : comparaison de 2 réseaux d’images

(Août 214)

Du côté gauche, Snapchat, l’application indépendante lancée en 2011 sur l’App store,
16 milliards de dollars à la pesée. De l’autre, Instagram, le réseau social entraîné par Facebook créé et lancée en 2010, 37 milliards de dollars à la pesée. Ladies and Gentlemen, le combat peut commencer ! Diiing !

Round 1 : Snapchat, le nouveau réseau préféré des jeunes

On se sait même plus quel chiffre avancer pour confirmer la fulgurante évolution de Snapchat, tellement ils sont nombreux. 100 millions d’utilisateurs actifs chaque jour, 10 milliards de vidéos sont vues quotidiennement, un temps moyen de 25 à 30 minutes par jour sur l’application… Quoi, vous n’êtes pas convaincu ? Alors sachez que Snapchat est devenu depuis quelques jours le 2e réseau social où les 18 – 34 ans passent le plus de temps, passant ainsi devant Twitter et… Instagram ! Plus besoin d’avancer d’autres arguments, Snapchat devance son concurrent.
Snap : 1 – Insta : 0

Round 2 : Snapchat plus jeune, plus innovant

Bon, on ne va pas vous redire à quel point la gestion de sa communauté est importante pour une marque. Mais, pour y arriver efficacement, les réseaux sociaux doivent proposer de nouvelles fonctionnalités ou de nouveaux formats, pour embraser la créativité des marques. Si Instagram profite des dernières nouveautés de Facebook, (notamment en développant sa régie publicitaire), Snapchat ne cesse de faire parler de lui : amélioration de l’expérience, nouvelle fonctionnalité dans sa messagerie, apparition des filtres… Les marques peuvent alors utiliser ces nouveautés pour engager leur communauté via des campagnes de communication ou marketing de pus en plus innovantes. D’ailleurs, selon une récente étude de L2 Think Tank, les marques sur Snapchat partageraient presque 3 fois plus de publications par semaine que sur Instagram. Preuve, si l’en faut une, que les marques présentes sur cette application n’hésitent pas à inonder leurs abonnés de contenus uniques. Snapchat remporte la victoire dans cette deuxième manche et fait le break sur Instagram !
Snap : 2 – Insta : 0

Round 3 : les marques idolâtrent Instagram

Si tous les indicateurs prouvent que Snapchat a été adopté sans modération chez les jeunes, les entreprises ont beaucoup de mal à se lancer sur cette application. Toujours selon une récente étude de L2 Think Tank, les secteurs de l’industrie délaissent Snapchat pour se concentrer essentiellement sur Instagram. Après tout, ce constat est plutôt logique : le réseau social de Facebook offre un panel de fonctionnalités idéal pour une marque : gestion de la publicité, mesure du ROI, mesure de l’engagement… Même si Snapchat développe de plus en plus une logique marchande, l’application n’arrive pas encore à la cheville d’Instagram et de Facebook. Retournement de situation dans ce deuxième round ! Instagram remporte largement la 3e manche et récupère son retard perdu ! Oui, le dernier valait 2 points! Snap : 2 – Insta : 2
Match nul en conséquence.

On entend déjà parler d’un déploiement de fonctionnalités e-commerce de Snapchat sur son application. Dès lors avec la rapidité de Snapchat à mettre en place ces nouveautés, cette dernière fonctionnalité pourrait voir le jour beaucoup plus vite que prévu.
L’envergure de Snapchat est en passe de changer et son pouvoir d’influence notamment sur les jeunes communautés ne ferait qu’accroître sa désirabilité pour les marques et les annonceurs.

Les profils Facebook plus avantagés que les pages ?

(Juillet 2016)

Annoncé il y a quelques jours, le nouvel algorithme de Facebook devrait baisser le reach des pages au profit des profils. En cause ? De nombreux mails envoyés par des membres du réseau social, souhaitant voir les publications de leurs amis sur leur fil d’actualité.

Algorithme, reach, Facebook : tu parles français ?

Vous n’êtes pas familiarisé avec ces termes ? Vous le serez à la fin de ce paragraphe. En revanche, si vous connaissez parfaitement le jargon du community manager, nous vous invitons à sauter cette première partie !

Vous l’avez peut être remarqué, mais vous ne voyez pas toutes les publications de vos amis ou des différentes pages que vous aimez sur votre fil d’actualité. Et oui, Facebook priorise certaines informations au détriment des autres. C’est pour cela que vous verrez plus facilement les publications de vos amis proches, alors que vous aurez oublié que votre cousin au 36e degré du côté de votre père qui habite en Auvergne fait partie de vos amis sur Facebook. Comment cela est possible ? C’est grâce à l’algorithme de Facebook. Ce dernier calcule plusieurs indicateurs pour vous proposer les meilleures publications, celles qui sont censées être importantes pour vous.

Cet algorithme est un facteur indispensable à prendre en compte lorsqu’on gère une page d’entreprise sur Facebook. Cela permet de calculer le reach d’une page, soit sa propension à toucher votre communauté avec une publication. Et oui, vous avez beau avoir 10 000 fans, vous ne toucherez peut-être pas 100% de vos membres.

Le push marketing pour les utilisateurs

On peut voir les premiers résultats de ce nouveau positionnement. Depuis quelques jours, vous pouvez envoyer une notification à un de vos amis pour qu’il consulte votre publication. D’après nos tests, cette action est disponible pour une publication vidéo, photo ou avec lien.

Facebook opère donc sa métamorphose, en remettant le profil (et donc l’utilisateur) au cœur de son réseau social, en lui donnant la possibilité de définir son propre “reach”. Cette nouveauté dévoile clairement le nouvel objectif de la firme à plus d’un milliard et demi de membres, au détriment des pages Facebook.

La solution pour les entreprises ?

Cette fonctionnalité en dit long sur la nouvelle stratégie de Facebook. Finie l’époque où les entreprises allaient sur ce réseau pour gagner en visibilité facilement et gratuitement. Il faut désormais avoir une vraie stratégie social media ciblée si l’on veut utiliser tout le potentiel de Facebook. Dès lors, le métier du community manager doit vite s’adapter à ce nouveau contexte. Chez Vu du Web, on a déjà quelques idées pour capitaliser les interactions avec une communauté.

1 : Investir dans Facebook Ads : bien entendu, en baissant le reach des pages entreprises, Facebook souhaite pousser sa régie publicitaire. C’est le moyen le plus rapide et le plus sûr pour apparaître sur le réseau social. Mais c’est aussi le moyen le plus coûteux et le moins durable. Alors, à vos cartes bleues.

2 : Faire confiance à un community manager : un bon CM est créatif. Et la créativité sur Facebook est toujours récompensée ! Si vous innovez sur certaines publications, vos interactions peuvent croître, à l’instar de votre reach. Alors, à vos inspirations.

3 : Utiliser les ambassadeurs : si le profil Facebook va gagner en reach, et donc en portée, les marques doivent alors investir de plus en plus dans les ambassadeurs. Ces porte-étendards deviendraient alors des solutions de visibilité cruciales pour les marques. Alors, à vos profils !

Snapchat a le vent en poupe

(Janvier 2014)

En septembre dernier, après seulement deux ans d’existence, le géant américain Facebook a effectué une offre d’achat de 3 milliards de dollars pour devenir propriétaire de Snapchat. Une donne qui vient confirmer le succès grandissant de cette application de partage d’images.

Snapchat se développe rapidement

Une recherche du Business Insider a dévoilé récemment le chiffre impressionnant de 400 millions de photographies ou de vidéos envoyées quotidiennement sur Snapchat. Même si une vidéo est retransmise à l’ensemble des contacts, il n’en demeure pas moins que ce chiffre propulse ce réseau social japonais devant Facebook, en terme de partage d’images. Contrairement à Facebook, les visuels échangés sur Snapchat ont une durée de vie assez courte, soit environ quelques secondes. Il s’agit d’envoyer à ses contacts les images les plus gênantes, les plus troublantes… en faisant preuve de dextérité et de rapidité, car Snapchat ne possède aucune base de données.

Les projets de Facebook pour Snapchat

Avec près d’un million de visites tous les mois et 5 millions de comptes actifs, Facebook ambitionne avec son offre d’achat de le rendre dans un premier temps plus rentable (ses comptes sont actuellement dans le rouge) pour l’imposer ensuite durablement dans la sphère des médias sociaux. Des encarts publicitaires seraient par exemple rajoutés, suivant ainsi le modèle du réseau social Instagram, racheté récemment par Facebook. Pour continuer sur sa belle lancée, Snapchat doit absolument se renouveler pour attirer davantage d’annonceurs, comme l’a fait récemment Twitter en développant le système de messagerie instantanée.

Focus sur le LiveTweet (LT), un outil participatif à exploiter

(Mai 214)

Le LIVETWEET (LT) permet au public de commenter en direct les évènements sur Twitter via un Hashtag prédéfini. Les Hashtags pullulent dans les émissions de TV, interviews ou encore dans les conférences.

Tout peut être dit. En bien comme en mal. Rebondir sur les différentes remarques peut être un moyen intéressant de lancer et de faire évoluer le débat. D’autre part, cela permet de développer son image sur les réseaux sociaux.

Moyen de communication de plus en plus incontournable, le LT fait partie intégrante d’une stratégie digitale.

Les avantages et les atouts du LiveTweet

Le LT est un moyen de capitaliser questions, remarques et avis.

  • Vous organisez une conférence ?
  • Une journée porte ouverte ?
  • Vous animez un séminaire ?

C’est l’occasion rêvée pour lancer un LT et inciter les participants à donner avis et remarques sur cet événement.

Vous pourriez développer ainsi votre notoriété et améliorer votre identité numérique.

Il s’agira de communiquer grandement en amont quant à cet événement et à la possibilité d’y participer via les réseaux sociaux.

Une grande mobilisation pourrait même vous permettre d’apparaître dans les tendances du moment et vous octroyer une belle place sur le devant de la scène.

Astuces : les écueils du Hashtag à éviter

Lancer un LT implique de communiquer sur un Hashtag (#). Les règles sont les suivantes :

  • le Hashtag doit être court pour laisser une place suffisante au tweet,
  • Le Hashtag doit être pertinent et évident,
  • Le Hashtag doit être unique afin de ne pas rentrer en conflit avec un concurrent,
  • Le Hahtag doit être facile à taper,
  • Le Hastag doit être dans la langue du débat.

Les organisateurs du LiveTweet doivent anticiper ces éléments afin de communiquer sur le bon #. Connaître le jargon de Twitter est également indispensable pour communiquer avec les internautes !

Vous souhaitez obtenir des conseils pour la mise en œuvre de LT ? Vous recherchez un community manager expérimenté pour suivre vos évènements et répondre aux questions posées par les participants ? Nous sommes en mesure de répondre à vos besoins et à vos attentes.

Beyond 140 : quel intérêt pour Twitter ?

(Janvier 2016)

Qui s’est déjà remué les méninges en essayant de raccourcir son tweet pour ne pas dépasser les 140 caractères ? Cette problématique anime tout les twittos depuis presque 10 ans. Mais à l’aube de l’année 2016, Twitter pourrait mettre fin à cette limitation pour arriver aux 10 000 caractères. Petit tour d’horizon sur les conséquences de cette annonce qui a fait couler beaucoup de tweets.

10 000 caractères pour séduire un nouveau public

Actuellement, Twitter a moins d’influence que la plupart de ses concurrents avec un nombre d’utilisateurs qui plafonne à 320 millions en 2015. Annoncé pour le printemps 2016, le projet d’un tweet à 10 000 caractères (appelé “Beyond 140”) permettrait alors de séduire un public plus large sur le réseau social. Mais qui précisément ?

La réponse est simple : les entreprises. Ces dernières sont de plus en plus présentes sur les réseaux sociaux depuis quelques années. Néanmoins, on peut vite se rendre compte qu’elles ne placent pas Twitter au centre de leur stratégie digitale. Ceci peut s’expliquer par le nombre restreint d’utilisateurs mais aussi par la limitation des caractères dans un tweet, rendant difficile le dialogue avec les différents clients.

10 000 caractères pour devenir un vrai réseau social

Contrairement à Facebook ou Google+, Twitter et ses 140 caractères misent sur l’instantanéité plutôt que sur l’apport d’une information détaillée. Mais là où on peut trouver un certain avantage à ce positionnement, il existe un inconvénient non négligeable : le réseau social est utilisé comme une plateforme de partages liens. L’utilisateur à la recherche d’informations est alors contraint de se rediriger vers un site externe pour consulter un article ou une actualité. La conséquence dans tout ça ? Les entreprises sont moins enclines à acheter de l’espace publicitaire sur Twitter étant donné que les twittos passent peu de temps sur ce réseau social. Le projet “Beyond 140” pourrait alors endiguer ce problème pour replacer Twitter comme un véritable réseau social.

Mais 140 caractères pour se démarquer

Néanmoins, cette nouvelle n’a pas été accueillie positivement par la plupart des abonnés, ni par les marchés américains où le titre de Twitter a perdu 2 à 3% depuis l’annonce du projet “Beyond 140”. Et l’on comprend pourquoi : la spécificité de ce réseau social réside dans la limitation de ses tweets. Cette restriction pousse à aller directement à l’information principale pour gagner en simplicité, à faire preuve de créativité pour séduire un internaute toujours plus intransigeant ou encore à proposer des contenus plus concis pour gagner en réactivité et en instantanéité.

Qu’est ce que Pinterest ? A quoi sert ce réseau ? Pourquoi l’utiliser ?

(Août 214)

Votre mère découpait les pages de Modes & Travaux, Elle ou encore Femme Actuelle.

Elle les gardait précieusement dans un classeur, comme le faisait sa mère avant elle. Elle se sentait rassurée d’avoir gardé dans un coin de sa vie cette délicieuse recette d’un flan au litchi qu’elle n’allait jamais faire.

Ce temps est révolu. Non pas celui de la collectionnite. Celui du papier. Parce qu’un site a remplacé tout cela. Il s’agit de Pinterest.

Qu’est ce que Pinterest ? Quels sont ses avantages ? Pourquoi l’utiliser ?

Pinterest est un réseau social américain, spécialisé dans l’image, créé en 2010. Il permet de créer des albums photos et de les partager avec les autres membres. Composé d’une audience majoritairement féminine, Pinterest a rapidement su trouver son public outre-Atlantique. Il permet d’organiser l’information et les contenus de manière attractive.

Certains s’en servent de :

  • catalogue
  • base d’inspiration,
  • promotion…

En Europe, les Anglais sont les leaders de l’utilisation des « Pin’s ». La France est encore à la traîne dans ce domaine.

Mais comment marche Pinterest ?

Tout se passe comme dans un système de réseau social classique. Vous rentrez en relation avec les uns et les autres dans un premier temps. Ensuite vous créez vos propres tableaux sur les thématiques qui vous ressemblent.

Certaines entreprises utilisent ce réseau pour faire ressortir leur entreprise en terme de : produits, management ou encore pour la couverture d’un évènement

Quelques mots à connaître pour un utilisateur de Pinterest

  • pin : il s’agit d’un élément que vous « punaisez » sur votre « tableau ». Cet élément peut être un photo, une infographie, une vidéo…
  • repins : équivalent du retweet de Twitter ou du partage de Facebook, le repin est le fait de « piner » ce qu’un autre aurait « piné »
  • tableau / board : il s’agit d’un regroupement de pins sur une même thématique. Imaginons que vous êtes fan du mouvement StreamPunk, vous pourrez « piner » sur ce tableau tout ce qui vous y fait penser.
  • like : même fonctionnement que sur Facebook, vous pouvez indiquer que vous « aimez » ce pin.

Pinterest peut aussi être votre allié SEO (Search Engine optimization) pour votre visibilité.

Twitter : à fond sur la forme ?

(Décembre 2015)

Il est parfois difficile de se démarquer sur les réseaux sociaux sans visuel spécifique. Twitter en est le parfait exemple ; face au flux incessant de tweets qui inonde la page d’accueil de chaque utilisateur, un simple texte peut vite passer à la trappe. La solution ? Très simple : habiller l’information, la mettre en avant, la mettre en scène grâce à un visuel photo, vidéo, animé,… Tout ce qui peut permettre d’interpeller l’internaute.

Un visuel pour plus d’engagement

Ce constat est confirmé par le blog officiel de Twitter, avouant en mai 2014 qu’un tweet avec une photo donne 35% de retweets en plus qu’un simple tweet textuel. Un visuel peut donc accroître l’engagement des internautes et ainsi agrandir votre communauté et votre visibilité.

Les emojis, la nouvelle tendance

En 2014, Twitter a permis l’apparition d’emojis, des émoticônes intégrés en Unicode, sur chaque tweet des utilisateurs. Ces petites images s’intègrent directement dans le texte.
L’intérêt de cette utilisation est d’attirer l’œil de l’internaute directement sur l’information textuelle et non plus sur le visuel intégré au tweet. L’utilisation de ces emojis apparaît de plus en plus sur le fil d’actualité Twitter, notamment du fait de l’utilisation accrue des smartphones pour naviguer sur les réseaux sociaux. En effet, une récente étude de TNS Sofres montre que 63% des 16-30 ans se connectent quotidiennement sur les réseaux sociaux via leur smartphone. L’utilisation de ces emojis est simplifiée sur ce type de support, puisqu’ils sont directement intégrés sur le clavier tactile.

L’emojis pour classer les informations

Pour comprendre l’objet d’un tweet textuel, il n’y a qu’une solution : le lire, forcément. Cependant, les emojis intégrés au texte peuvent fonctionner comme des symboles. L’internaute comprend alors, en un seul coup d’œil, la teneur du tweet. Twitter a bien compris l’intérêt de ces visuels, en développant pour chaque événement d’envergure un emoji associé à un hashtag!

Les hashtags, nouvel effet de mode ?

(Décembre 2013)

Les hashtags (« mot cliquable » ou « mot-dièse » en français) consistent au marquage d’un mot dans une publication ou un article. Ils permettent de mettre fin à la hiérarchisation classique d’un article dans des catégories en encourageant à la souplesse d’utilisation.

Que représentent les hashtags ?

Dans la pratique, lorsqu’on clique sur un mot précédé d’un hashtag, on est directement renvoyé vers d’autres publications ou pages où le même mot est également précédé d’un hashtag. Ce dernier est plus communément appelé : mot-clé.

Ainsi un hashtag augmente la portée d’une publication pour permettre d’atteindre au final une audience qualifiée. Une personne qui utilise les hashtags pour effectuer une recherche voit apparaître toutes les publications associées à ce hashtag. C’est un excellent moyen pour rendre votre marque plus connue et pour pouvoir interagir plus facilement avec les utilisateurs.

D’où viennent-ils ?

Le réseau social américain Twitter utilise les hashtags depuis 2009. Ce dernier est associé à un lien hypertexte menant vers une page de résultat du moteur de recherche de Twitter.

Facebook s’y est mis lui aussi en juin 2013, suivi par Instagram. Ces deux réseaux sociaux les utilisent pour leur efficacité et leur rapidité en termes de recherche, pour l’un, et pour leur ciblage lorsqu’une photo est postée, pour l’autre.

Pour mieux vous faire connaître sur les réseaux sociaux, il est nécessaire d’utiliser les hashtags mais pas seulement, l’agence Vu du Web vous accompagne dans votre stratégie Web , de la création à l’animation des réseaux sociaux en passant par l’optimisation de votre visibilité.

10 types de fans sur les réseaux sociaux

(Décembre 2013)

En travaillant sur les différents réseaux sociaux , Vu du Web croise de nombreux types de fans. Dans cet article nous allons vous présenter les 10 grandes catégories rencontrées par vos Community Manager , du meilleur au pire :

Le fan 2.0

Un fan agréable, poli et plutôt pro, il aime votre page/marque et explique pourquoi. Ambassadeur désigné il vous aidera à améliorer votre image et gagner en notoriété.

Réaction à avoir : Remerciez-le régulièrement.

Le fan amoureux

Ce fan correspond à la définition même du mot, il déclare régulièrement son amour pour votre page/marque et ne peut vivre sans le dire au monde. Il likera ou commentera très régulièrement, mais toujours de manière positive !

Réaction à avoir : Aucune en particulier, il vous fait de la pub gratuitement ! Remerciez-le régulièrement pour lui montrer que ces actions sont appréciées par la marque et que vous l’aimez en retour.

Le fan perdu

Sa soif de commenter dépasse son intérêt réel pour le sujet abordé. Typiquement il commentera le post sans même l’avoir lu ni même ouvert ! « Je ne comprends pas » ou « Mais je croyais que… » sont les phrases types utilisées.

Réaction à avoir : rester calme et expliquer « c’est vrai » ou « Et bien non, lisez bien l’article 😉 ». Utiliser un ton détendu et sympathique permettra de faire passer l’info plus facilement.

Le comique

Ce type de commentateur apprécie l’anonymat d’internet et en profite pour se lâcher et user de son humour et de son sarcasme pour se faire remarquer/liker.

Réaction à avoir : User du même humour mais le risque est de s’embarquer dans un long échange ; ignorer les remarques et laisser les autres utilisateurs lui répondre à leur guise ; ou bloquer leurs commentaires si ceux-là deviennent un peu trop familiers.

Le Messi de l’orthographe

L’orthographe est un art que tout le monde ne maîtrise pas ! Parfois associé à des problèmes de grammaire, les posts et commentaires de ce fan seront souvent ceux d’un nouvel arrivant demandant conseil ou d’un blagueur itinérant avec peu de scrupules sur la langue française.

Réaction à avoir : Si c’est un commentaire à titre informatif ou juste un gentil mot, répondez et remerciez-le pour ne pas le faire regretter sa mise en avant. Si le commentaire est désagréable ou vous prend de haut, répondez en corrigeant les fautes d’orthographe (tout en restant extrêmement poli), cela devrait le calmer et plaire à vos autres fans qui eux, savent écrire.

Le maître chanteur

Internaute plus ou moins influent qui pense avoir un droit de vie ou de mort sur votre page/marque. Il utilisera un ton assuré et exigera des avantages en échanges d’un bon ou d’un mauvais commentaire.

Réaction à avoir : Ignorer ou répondre selon la demande afin d’éviter cette menace de « bad buzz ». N’oubliez pas pour autant qu’ils ont souvent moins d’influence qu’ils le croient.

>Le paranoïaque

Ne pensant qu’aux complots de la NSA et de Big Brother, ils chassent les articles confirmant ses idées et fera monter la pression pour rendre tous les autres internautes aussi paranoïaque que lui. Malgré sa peur, c’est un accro des réseaux, il restera discret sur les détails personnels ou ses envies, mais démontrera avec plaisir qu’il est bien au courant des conspirations web.

Réaction à avoir : aucunes, il souhaite partager un avertissement, libre à chacun de valider ses dires.

Le chipoteur

Ce fan est plus ou moins agaçant, mais pas méchant. Il veut se mettre en avant et prouver qu’il sait mieux que vous, ainsi il corrigera (au mot près !) vos publications pour vous expliquer que ce n’est pas « digital » mais « numérique » qu’il fallait utiliser.

Réaction à avoir : si vous êtes sûr de votre choix et que vous aussi, pensez avoir raison n’hésitez pas à le corriger ou lui expliquer pourquoi vous avez utilisé ce mot et non celui qu’il propose. S’il a bel et bien mis le doigt sur une erreur, prenez-le avec humour et donnez-lui raison ! Cela désamorce la bombe et met tout le monde d’accord.

Attention tout de même à ne pas lui donner des occasions trop régulières de vous reprendre, cela pourrait entacher votre image sur le moyen et long terme.

Le spammeur

Typiquement le jeune proposant ses services ou lançant son entreprise, ou des marques voulant faire de la publicité gratuite. S’il est malin il ne fera qu’un commentaire de temps en temps et vous ne le remarquerez peut-être pas tout de suite, s’il est inexpérimenté il postera le même commentaire à plusieurs endroits.

Réaction à avoir : le bloquer, dénoncer un spam et Facebook le bloquera.

Le rageux

Parfois appelé le frustré, cet internaute n’est jamais content et veut le faire savoir ! Il commentera (plus ou moins gentiment) à quel point votre article est mauvais ou pointera tous les points discutables pour chercher ce qui va vous énerver.

Réaction à avoir : Rester calme et lui répondre si vous êtes sûr de pouvoir entourer toutes possibilités de réponse ; l’ignorer pour ne pas lui donner une raison de continuer ; le bloquer à chaque fois, Facebook le suspendra de faire des commentaires si plusieurs plaintes sont déposées.

Les nouveautés Facebook en 2013

(Novembre 2013)

Les différents outils du community manager ne cessent d’évoluer et Vu du Web vous les présente au fur et à mesure.

Aujourd’hui, c’est le réseau social numéro 1 qui s’est mis à jour pendant tout le mois de novembre.

Veille en continue sur 5 pages

Les administrateurs de pages fans sur Facebook, ont découvert récemment la nouvelle fonctionnalité permettant de suivre certaines pages et d’observer l’évolution de leur nombre de likes.

Ce nouvel outil permet de surveiller la concurrence et de connaître instantanément les performances des concurrents et des confrères sans avoir à tout noter à la main.

Pour une certaine équité, lorsque vous ajoutez une page à surveiller sur ce module, il y a de fortes chances pour que vous apparaissiez dans les pages suggérées à surveiller.

Publicités

Les boutons « J’aime » et « Commenter » sur les publications sponsorisées sont aujourd’hui en passe d’être supprimés. Encore en phase de test, cette nouvelle fonctionnalité s’ajoute aux trois types d’optimisation déjà proposés par Facebook :

Lifting des boutons

Une certaine mise à jour graphique de l’ensemble de ces boutons de partage, va avoir lieu. Les boutons de « like » et de « follow » ressembleront alors à cela :

Programmation de statuts

La programmation des publications Facebook obligeait l’administrateur à écrire la date souhaitée, mais ne permettait pas de voir quel jour de la semaine y correspondait. Ceci a donc changé et c’est aujourd’hui sous la forme d’un calendrier que la programmation se fait.

Longtemps attendue, cette mise à jour est la bienvenue pour de nombreux Community Managers.

Pour vérifier rapidement si des publications Facebook sont programmées, un nouvel affichage est également apparu dans le panel administrateur des pages :

Promotion payante de son site

Il est maintenant possible d’intégrer 6 photos pour la promotion payante de son site web ou de sa page fan.

Vous souhaitiez illustrer vos campagnes publicitaires avec des visuels différents ? Facebook vous donne désormais la possibilité de charger pas moins de 6 images :

Lors de votre campagne publicitaire, vous pourrez choisir de mettre en avant votre page dans sa globalité. Vous aurez alors l’occasion de télécharger plusieurs visuels et de les repositionner à votre guise.

Youtube, Dailymotion ou Viméo: quelles différences, que choisir ?

(Septembre 2013)

Dans le monde du numérique, plusieurs sites de diffusion vidéo sont utilisés, sans que les utilisateurs ne sachent vraiment les différences de chacun. Parmi les plus grands nous retrouvons Youtube, Dailymotion et Viméo.

Youtube, le leader :

Créé en février 2005 par trois anciens employés de PayPal, la plateforme lance réellement le mouvement de la diffusion de vidéos sur internet. L’histoire accélère fortement au moment du rachat de la chaîne par Google deux ans après. Aujourd’hui, Youtube est sans conteste le leader du domaine, et représente le 3ème site le plus visité au monde avec plus de 800 millions de visites uniques chaque mois. Sur cette plateforme, un choix parmi des milliards de vidéos en tous genres est possible, et des outils de montage vidéo uniques sont disponibles directement en ligne.

Les avantages :

  • Il y a un très grand nombre de vidéos disponible
  • Le stockage est illimité et ne demande qu’une vérification de compte via un envoi de SMS
  • Application mobile sur la majorité des téléphones (même blackberry)
  • Mise en place des boutons de partage directement sur votre site internet

Les limites :

  • Les contenus sont très peu vérités, aucun thématique n’est respectée
  • Vidéos limitées à 2Go ou 15 minutes (vidéos plus longues possibles sous conditions)
  • Le visionnage d’une vidéo est précédé de publicités courtes
  • Vidéos HD prenant parfois un temps excessif à charger

Youtube est « spécialisé » dans la vision de médias (37,5% des vidéos vues), suivi par les créations amateurs (10,9%) et les publicités (10,3%).

Dailymotion, le challenger :

Un mois après le lancement de Youtube, le Français Dailymotion voit le jour. Il se place rapidement comme numéro deux, et compte environ 112 millions de visiteurs uniques par mois et plus de 2,5 milliards de vues .

Les avantages :

  • Une meilleure résolution vidéo
  • L’originalité de son lecteur
  • La qualité de son application mobile

Les limites :

  • Vérification du contenu posté se fait par les « ayant droits », qui jugent des contenus interdits.
  • Vidéos limitées à 2Go ou 60 minutes (vidéos plus longues possibles sous conditions)
  • Application disponible sur iOs, Android et Windows mais pas sur Blackberry

Viméo, le suiveur :

Créé en 2004 à New-York, par plusieurs cinéastes souhaitant partager leurs travaux, Viméo ne connaît pas l’essor impressionnant de Youtube, mais reste réputé pour sa qualité et ses contenus originaux. Viméo est relativement « nouveau » dans le top, mais il plaît par sa grande qualité de vidéo.

Les avantages :

  • Bonne qualité de vidéos
  • Petite communauté passionnée
  • Mise en avant de la vidéo (pas de publicités sur le lecteur)

Les limites :

  • Stockage limité
  • Vidéos limitées à 500Mo/semaine pour le compte gratuit ou 5Go pour les comptes Pro (59,95$/an).
  • Qualité maximum de 720p en compte basique (et 1080p en Pro)

Youtube est plus innovateur et réactif par rapport à l’actualité mondiale, mais la qualité (tant vidéo qu’audio) est peu comparable avec le bon niveau de Dailymotion et Viméo. La grande popularité de Youtube se fait grâce à ses contenus amateurs. En effet, on peut y trouver de tout, alors que Dailymotion et Viméo seront plus tournés vers les vidéos officielles. Le premier se penchera sur les médias information ; quant au deuxième, il se penchera plus sur le côté artistique (projets d’animation, courts métrages…).

Vous souhaitez développer votre présence dans l’une ou plusieurs de ces communautés ? Vu du web peut vous aider à améliorer votre référencement social .

Les nouvelles fonctionnalités Facebook de la rentrée

(Septembre 2015)

Facebook a annoncé durant l’été la mise en place de 4 nouvelles fonctionnalités visant à améliorer votre relation client. Facebook souhaite favoriser les échanges entre les pages et utilisateurs du réseau social.

Un call to action pour envoyer un message privé depuis vos Facebook Ads

Vous pouvez désormais être contacté par l’audience touchée par vos publicités Facebook. Un nouveau bouton « envoyer un message » est disponible. Vous recevrez alors un message privé contenant en pièce jointe la publicité afin d’identifier facilement l’annonce à l’origine du message. Ce call to action est disponible uniquement pour les publicités visant à « promouvoir votre entreprise au niveau local ».

Un badge pour les pages les plus réactives

Facebook vous incite à être très réactif aux messages en vous proposant d’afficher un badge sur votre page. Les conditions sont assez exigeantes car il faut répondre à 90% des messages dans un délai ne dépassant pas 5 minutes. Si vous tenez ces conditions, un badge apparaîtra alors sur votre page indiquant à vos fans que vous êtes « très réactif aux messages ». Un délai difficile à respecter si vos fans vous envoient des messages en pleine nuit… Rassurez-vous, Facebook est en train de tester une option pour mettre en veille votre page pendant 12h maximum, période durant laquelle vous n’aurez pas à répondre en moins de 5 minutes. A suivre.

Envoi de messages privés suite à un commentaire sur votre page

Vous pourrez bientôt adresser des messages privés aux personnes commentant vos publications. Cette fonctionnalité peut s’avérer pratique lorsqu’il s’agit de sujets sensibles ou nécessitant des informations confidentielles (ex : numéro client, de commande, etc…).

Défénition de messages préenregistrés

Toujours dans le but de faciliter les échanges avec votre communauté, Facebook vous propose d’enregistrer des messages types afin d’être plus réactif. Attention cependant à ne pas dégrader l’aspect relationnel du réseau social en abusant des messages enregistrés. N’oubliez donc pas de personnaliser vos contacts : Facebook est avant tout un réseau social !

Story Explorer : un contenu live plus riche sur Snapchat.

(Décembre 2015)

Une story sur snapchat, on m’explique ?

Rappelons d’abord, qu’il existe deux manières d’utiliser Snapchat :

L’utilisateur sélectionne le ou les contacts à qui il envoie un snap (photos ou vidéos), on vous rappelle que le contenu est éphémère pas plus de 10 secondes. Mais il peut également rendre public ses snap auprès de tous les utilisateurs qui sont dans ses contacts ou qui le suivent grâce à sa story pour une durée de 24h. Une story est concrètement un message photo ou vidéo éphémère envoyé via Snapchat, dévoilé publiquement à tous ses contacts.

Ensuite Snapchat a intégré les live stories, avec un contenu produit par les utilisateurs (UGC), sur des événements locaux ou de grandes envergures : Coupe du monde de football par exemple. Les contenus lives produits par les utilisateurs autour de la coupe du monde se retrouvent dans une même story afin de créer un contenu riche et varié et surtout en LIVE.

Mais avec l’introduction de cette nouvelle fonctionnalité : Story Explorer, l’utilisateur pourra décider de consulter plus de snaps rendus publics par les autres utilisateurs à propos d’une situation ou d’un événement en particulier. En effet lorsque l’utilisateur visionnera un contenu live sur sa story, il n’aura qu’à swiper vers le haut afin d’explorer les snaps en lien avec le live qu’il visionne, des contenus vidéos similaires mais sous d’autres angles de vues à un moment précis. (une flèche explorer s’affiche en bas de chaque story avec cette possibilité)

Snapchat fait un pas de plus dans la création de contenus riches avec la mise à jour de ses live stories. Elles seront désormais plus riches, et utiliseront encore plus de contenu produit par ses tiers.

Aujourd’hui Snapchat n’a pas encore révélé la manière dont il choisira les snaps similaires qui viendront se greffer à un événement live, mais on se doute que ce service fera vraisemblablement appel aux données de géolocalisation mais également à l’heure de partage du snap en question.

Une mise à jour minime me diriez vous ?

Au contraire, une nouveauté entraîne de nouvelles logiques de contenu, qui permettent à l’utilisateur une personnalisation extrêmement poussée de celui-ci.

De plus, l’utilisateur ne trie plus son contenu, mais il s’agit ici d’un algorithme qui occupera cette fonction à la place de l’humain. En effet, nous choisirons une image ou vidéo sur Snapchat et celui-ci nous proposera des contenus uniques personnalisés en lien avec le contenu d’origine. On imagine les possibilités futures de contenu vidéo live sur des breaking news générés par les utilisateurs. Plus concrètement, la réactivité de Twitter mais en vidéo live.

Snapchat va tester la fonctionnalité sur les Live Stories de New York et Los Angeles mais la fonctionnalité devrait très vite être déployée à d’autres villes et à l’international.

Facebook Live disponible sur PC

(Mars 2017)

Après les smartphones et tablettes, Facebook Live est désormais disponible sur ordinateur. En mars 2015, Periscope lançait la vidéo en direct, quelques mois plus tard Facebook lançait ses lives. Au départ, les lives étaient réservés aux mobiles, puis ont été étendus aux ordinateurs, mais uniquement pour les « pages ». Depuis peu, tous les utilisateurs de Facebook peuvent diffuser des vidéos en direct sans avoir à tenir leur smartphone. Le réseau social annonce également la compatibilité d’outils de streaming avec les vidéos en direct, mais aussi la possibilité d’utiliser un logiciel de diffusion qui pourrait permettre aux utilisateurs d’ajouter des graphiques, des titres et des partages d’écran..

Le partage d’écran fait partie des nouvelles possibilités du Facebook Live

Cette nouveauté de Facebook Live permettra aux personnes utilisant Facebook à des fins professionnelles de partager leur écran d’ordinateur pour faire des démonstrations de logiciel ou de site internet, des présentations de slides ou de faire des tutoriels. Les utilisateurs pourront se servir d’outils tels que Open Broadcaster Software, Wirecast ou XSplit afin de partager facilement le contenu de leur écran lors du direct. Facebook Live se place comme une alternative à Twitch pour la communauté des fans de jeux vidéo, qui pourront désormais diffuser leurs parties en live sur Facebook.

Comment lancer un live Facebook depuis son ordinateur ?

1. Utilisez le navigateur Chrome
2. Dans votre fil d’actualité, cliquez sur « Exprimez-vous ».
3. Cliquez ensuite sur « Vidéo en Direct »
4. Pensez à donner une petite description du contenu de votre vidéo avec une phrase d’accroche dans « dire quelque chose à propos de votre vidéo en direct »
5. Sélectionnez qui peut voir votre direct en choisissant votre audience (amis, public…)
6. Cliquez sur « Suivant »
7. Cliquez sur « Vidéo en Direct » et c’est à vous de jouer !

LinkedIn : j’y crois ou j’y crois pas ?

(Août 2016)

9e. Oui, 9e. Au début de l’année 2016, LinkedIn, le réseau social destiné aux professionnels, occupait la 9e place des réseaux sociaux avec le plus de membres actifs mensuels, grâce à ses 100 millions d’utilisateurs. Et ce n’est pas rien quand on sait que ce classement reprend les plus grands : Facebook, Twitter, Instagram ou Sina Weibo l’un des principaux réseaux sociaux chinois .

Un bilan trimestriel en baisse

Mais voilà : depuis quelques temps, LinkedIn est sur la pente descendante.
Ses derniers chiffres trimestriels l’attestent : si le réseau social professionnel compte 450 millions de membres, seulement 24% d’entre eux sont actifs (106 millions).

Pire, ses résultats trimestriels annoncent plusieurs millions de dollars de pertes, même si une grosse partie est due à une régulation suite au rachat du réseau social par Microsoft.

Le dernier bilan de LinkedIn en tant qu’entreprise indépendante n’est pas donc pas au beau fixe. Mais alors, comment remonter la pente ?

Microsoft, le sauveur ?

On vient d’en parler plus haut, Microsoft vient de s’offrir un beau cadeau en juin : LinkedIn. Et ce n’est pas anodin pour le géant de l’édition de logiciels, puisque cette acquisition, estimée à plus de 20 milliards de dollars, correspond à sa plus grosse opération de croissance externe.

Dès lors, on peut imaginer que Microsoft a de gros projets pour relancer la machine LinkedIn. Et ça n’a pas tardé : la semaine dernière, le réseau social professionnel a déployé sur les comptes de ses membres les plus influents les vidéos en direct, LA nouvelle tendance des plus grands réseaux sociaux. Son objectif ? L’engagement ! Et oui, cette nouvelle fonctionnalité donne de très bons résultats sur Facebook, Periscope ou Youtube. Alors, pourquoi pas sur Linkedin ?

Une fonctionnalité devenue habituelle, mais des perspectives innovantes

Si les vidéos en direct ne sont sûrement que les prémices du projet à long terme imaginé par Microsoft, elles restent tout de même intéressantes pour relancer l’engagement.

En effet, chaque membre sur LinkedIn pourrait écouter, apprendre et échanger avec des professionnels reconnus mondialement ! Dès lors, les utilisateurs pourront rapidement développer leurs compétences auprès des plus grands. De plus, quoi de mieux qu’un échange vidéo pour entretenir vos relations sur Linkedin ? La communication est alors fluidifiée et presque instantanée.

Les vidéos en direct pourraient alors correspondre parfaitement à ce réseau social. Ainsi, dès que cette fonctionnalité sera déployée à tous ses membres, il ne serait pas étonnant de voir une progression de l’engagement sur LinkedIn.

Alors oui, à Vu du Web, on a envie de miser une petite pièce sur LinkedIn. D’ailleurs, on y croit tellement que l’on a développé une prestation de prospection sociale B2B sur ce réseau social professionnel, où vous recevez directement des prospects qualifiés dans votre boîte mail. Oui, rien que ça !

YouTube Super Chat : les commentaires payants arrivent dans les vidéos live de Youtube

(Janvier 2017)

Fin janvier 2017, les fans pourront rendre leurs messages plus visibles lors d’une vidéo live contre une contribution entre 1 et 500€

Si vous avez déjà participé à une diffusion en direct sur YouTube vous avez dû remarquer que les commentaires ont tendance à défiler rapidement et il est très compliqué pour le diffuseur et les autres participants de voir les messages publiés.

Le YouTube Super Chat permettra aux fans de mettre leur commentaire en surbrillance à l’aide d’une couleur et de voir leur message maintenu en évidence dans le flux durant une période définie en fonction du montant dépensé.

Un nouveau moyen de monétiser ses vidéos YouTube.

Cette nouvelle fonctionnalité devrait plaire à bon nombre de créateurs sur la fameuse plateforme de vidéos de Google, surtout après la mise à jour de l’algorithme de YouTube en septembre 2016 qui pénalisa plusieurs youtubeurs
Inspiré d’une fonctionnalité déjà utilisée sur Twitch (le “Cheers”), YouTube Super Cha permettra aux diffuseurs de mieux interagir avec leur communauté et identifier leurs fans les plus engagés. Plus besoin d’engranger des centaines de milliers de vues pour pouvoir tirer quelques bénéfices de ses créations vidéo.

Fonctionnement du Super Chat : plus vous payez, plus le message est visible.

Basé sur les micro-dons, il suffira aux viewers de cliquer sur l’icône “$” pour utiliser le Super Chat et voir leur commentaire mis en avant. La durée et la couleur de surbrillance dépendra du montant que vous êtes prêt à dépenser pour votre Youtubeur / Youtubeuse préféré(e).

Pour éviter les abus, YouTube a annoncé que le diffuseur aura la possibilité de modérer les commentaires du Super Chat (sans remboursement pour l’auteur du commentaire) et qu’il ne sera pas possible pour un internaute de dépenser plus de 500€ par jour.

La monétisation des vidéos au cœur de la stratégie YouTube.

La mise en place du Super Chat devrait inciter plus de personnes à se lancer dans le streaming, et qui dit plus d’utilisateurs dit plus d’annonceurs prêts à payer pour être présents sur YouTube.

Avec un chiffre d’affaire de 4 milliards de dollars en 2016 pour 1 milliard d’utilisateurs actifs, la plate-forme vidéo veut maintenir son monopole sur le web et attirer de plus en plus d’utilisateurs..

WAZE, un pour tous et tous pour un

(Décembre 2015)

Vous avez entendu parler de Waze, de Wazeu ou même de Wazé ? Non, ce n’est pas trois applications différentes, mais bien une seule ! Sa prononciation reste encore un mystère à nos yeux, mais nous allons essayer aujourd’hui de percer le mystère concernant son utilité.

Waze, waze is it*?

Waze est une application Android, iOS et même Windows (si, si, je vous assure, il existe des applis populaires sur Windows Phone) de trafic et de navigation communautaire.

Mais concrètement, pourquoi je gaspillerais de l’espace pour cette application ?

La question à se poser serait plutôt : “Aimez-vous les bouchons ?”. Si vous êtes passionné par l’intérieur de votre voiture et que vous considérez l’embrayage comme une machine de musculation pour un de vos mollets, passez votre chemin ! En revanche, si vous êtes comme nous et que les bouchons vous rappellent la peste, n’attendez plus pour télécharger Waze. En effet, cette application permet à tous ses utilisateurs de signaler les trafics denses, les contrôles de police, les dangers ou les accidents présents sur votre route.

Quelle conséquence sur votre quotidien ?

En rentrant l’adresse que vous souhaitez rejoindre, Waze vous offre le parcours le plus rapide, ou plutôt, le moins problématique au moment T. Rajoutons également que son utilisation se veut très ludique et enfantine, même pour ceux qui ont googlisé “iOS”, “Phone” et même “Googliser”.

Sur le papier, c’est plutôt intéressant. Mais en vrai ?

Mais en vrai ça l’est tout autant ! Il suffit de faire confiance à Waze, mais il faut également prendre en compte sa connexion internet (ce serait bête de rester coincé à Saint-Bonnet-de-Condat dans le Cantal en attendant qu’un peu de wifi tombe du ciel).

Alors certes, à Vu Du Web, nous ne nous sommes toujours pas mis d’accord sur sa prononciation, mais nous le sommes sur son utilité.

Waze else*?

Waze is it : “what is it”, ou “qu’est ce que c’est ?” en français. Mais expliquer une blague la rend beaucoup moins drôle.

Waze else : sérieusement ? Vous n’avez pas compris cette blague ? Je peux rien faire pour vous, on se retrouve au café.

Facebook existera-t-il encore dans 10 ans ?

(Février 2014)

La firme de Zuckerberg sent-elle le sapin ? Une décennie que Facebook a révolutionné (nos vies ?) les écrans. Mais dans dix ans, le pouce sera-t-il toujours levé ? Dix ans déjà. Nous y voilà. L’âge de la maturité. Mais pour être grand Facebook a essuyé des plâtres. Et c’est peut-être ces derniers qui l’enterreront définitivement.

Profil bas

Vous rappelez-vous de votre inscription sur Facebook ? Combien d’entre vous ont vécu ce grand moment de solitude ? Vos amis mortifères entonnaient « Quoiiiiii ? t’as pas de profil FB ? », en vous lançant un regard apitoyé comme un chat sur une sardine retournée à l’eau. C’est alors que la mutation en vous s’est produite. Et que le réseau social a pris un nouveau virage. Parce-que bien évidemment, vous étiez des milliers à faire votre profil.

Souvenez-vous, au début c’était sympa. Les amis, les connaissances, les parents puis la famille plus généralement, et plus récemment les entreprises. Et enfin, votre (futur) employeur qui consulte vos informations/photos compromettantes. Ben oui. Forcément, peu d’entre vous savent paramétrer la sacro-sainte sécurité. Et voilà vos photos qui défilent sous les yeux d’inconnus. Mince, le verre à la main, le sourire béat, et les cheveux en bataille à la soirée de Gégé, ce n’est pas du plus bel effet…

Mais bon an mal an, ne pas intégrer la communauté bleue, c’était comme refuser la révolution de 1789. C’était comme si on se décapitait socialement.

The Facebook, trombinoscope inventé par Mark Zuckerberg dans sa chambre de Harvard est devenu un phénomène. Il fallait y être. Mais comme tous les phénomènes de mode, ce qui est « branché » où « tendance » est donc réservé à une génération précise. Bien entendu, pas question de scander que dans deux ans, ce sera terminé. Mais à la vitesse d’internet, ne serait-ce pas qu’une question de temps ? Qui aurait imaginé le destin funèbre de Myspace il y a encore 2 ans ? (D’ailleurs, si ça intéresse quelqu’un, il est à vendre).

Certes, mais Facebook connecte le monde. Plus de 20 % du temps passé sur internet l’est sur Facebook. Les chiffres donnent le vertige.

La bourse ou la vie

Mark a eu envie de faire fructifier sa petite affaire. Alors en mai 2012, le réseau social entre en bourse. La société atteint d’emblée une valorisation de 104 milliards de dollars. Cependant, les doutes des investisseurs sur la capacité de Facebook à prendre le virage du mobile ont conduit l’action à être fortement chahutée. Des inquiétudes finalement dissipées aux vues des résultats financiers en progression constante.

Perte de vitesse

Oui mais voilà, alors qu’apparaissent de plus en plus de réseaux sociaux spécialisés Facebook serait en perte de vitesse selon les experts. En 10 ans, pas une seule « diversification » hors du domaine réseau social. FB est en mode défensif en achetant ses « concurrents ». Par ce biais, il souhaite non pas les faire évoluer, mais tuer dans l’œuf la concurrence. Prends garde à toi Mark. Car la génération Z déboule. Et elle saura probablement trouver un nouveau concept qui ravira l’humanité.

Bye bye

Mais avant qu’il y ait un petit génie pour lancer son idée fabuleuse, on a tous pensé à quitter Facebook à un moment. C’est vrai quoi. Trop de personnes qui se regardent le nombril, trop de clichés, trop peu d’informations réellement intéressantes. Et puis ce petit souci de données. Toutefois, on partage nos vies et on s’inquiète de voir nos informations se perdre dans les méandres du monde entier. Il y a comme un souci.

Et puis les fameux amis, n’en sont pas des vrais. Partir, mais pour aller où ? Que feriez-vous des 20 % passées « autrefois » sur Facebook ?

Même si grâce aux gazouillis de l’oiseau bleu d’en face, une information met 7 minutes à faire le tour du monde, Facebook n’est pas prêt de mourir. Parce que grâce à lui on peut encore retrouver des camarades de maternelle ; partager ses trouvailles, épargner des vies, mettre à bas des régimes. Bref, sauver le monde ?

E-réputation et gestion de crise : comment réagir face au « bad buzz » ?

(Avril 2014)

L’avènement du digital a développé une notoriété d’un genre nouveau: le BUZZ. Aux côtés ce qui est devenu le leitmotiv des marques, son frère maléfique fait planer son ombre. On l’appelle le «bad buzz». Telle une trainée de poudre, le «bad buzz» peut détruire une entreprise, une réputation et annihiler des années de travail de communication. Là où le «buzz» laisse rêveur, le «bad buzz» devient l’Attila du web. Là où il passe, l’e-réputation peine à reprendre vie.

Qu’est ce que le «bad buzz» ? Il s’agit de l’ensemble des réactions négatives – souvent fait d’une avalanche d’insultes – des internautes à un fait, un événement, un produit, une communication, une photo…Bref, ils ne sont pas contents, sont furieux, outrés ou choqués et ne se gênent pas pour le dire. On est face à une réaction en chaîne qu’il faut impérativement faire cesser. Les internautes deviennent des despotes d’un genre nouveau. Ce regroupement d’opinions négatives a des conséquences directes sur les ventes ]

Les étapes de la gestion de la crise :

Conseil 1 : restez calme

Le «bad buzz» vient de vous tomber dessus ? Comment réagir ? Calmez-vous et réunissez vos forces de combat en attendant que l’ouragan passe. Il vous faut agir rapidement mais avant tout avec réflexion.

Conseil 2 : laissez déferler la tempête

Qu’est ce que cela signifie ? N’effacez rien au risque de rendre les internautes encore plus en colère. Gardez les commentaires en ligne. Certes, ce n’est pas vendeur en l’état mais la fuite rendrait vos antis encore plus virulents. Or votre quête est inverse : il est ici question d’apaiser les esprits. Votre page Facebook devient un défouloir ? C’est une étape obligée. Un hashtag négatif vous est dédié ? Laissez faire et préparez la contre-offensive.

Conseil 3 : organisez une offensive rapide

Le « buzz » et le «bad buzz» ont de commun d’être des évènements intenses, rapides et courts si on sait les gérer. Il vous faut réagir intelligemment et rapidement pour faire écho à ce déferlement.

Conseil 4 : gérez une communication efficace

Mots d’ordre :

  • transparence et
  • rappel des faits complets.

On vous reprochera lourdement un manque de transparence. D’autre part, un rappel des faits clairs et objectifs permet d’éviter la circulation d’informations parcellaires et fausses. Réagissez par le biais d’un communiqué de presse diffusé largement : Twitter, Facebook, une page dédiée, diffusion sur le site institutionnel… choisissez la/les moyens de communication(s) les plus percutante(s).

Conseil 5 : entamez un dialogue avec les internautes

Toujours dans une idée de transparence, assumez votre situation et engagez le dialogue. Par l’échange, vous serez en mesure de désamorcer cette bombe. Soyez calme et posé dans vos réponses. Gardez une ligne. Excusez-vous. Les internautes se sentiront ainsi confortés et pourront passer à autre chose.

Conseil 6 : transformez ce «bad buzz» en une opportunité

Une fois la tempête passée, que peut-on en tirer ?

– Mettez en place des procédures efficaces pour l’avenir.

– Profitez-en ! On a parlé de vous, alors surfez sur la vague en essayant d’en tirer le meilleur parti.

  • Pourquoi ne pas miser sur l’autodérision ?
  • Mettre les internautes à contribution pour réparer une mauvaise communication ?

Gardez à l’esprit que la gestion de crise comme celle-ci sera gérée professionnellement par des services dédiés de community management.

Tumblr à la conquête de l’Europe

(Octobre 2014)

Prononcé « Teumbleur », Tumblr est un réseau social qui date de 2007. Connaissant un vif succès outre Atlantique, cette plateforme de blogging est encore peu connue des internautes européens. Un design minimaliste, une facilité de publication et une extrême simplicité d’utilisation ont contribué au succès de Tumblr. La plateforme américaine connaît une rapide expansion et ne saurait tarder à conquérir le public européen.

C’est quoi un Tumblr ?

David Karp, jeune homme de 26 ans, est le fondateur et le Président-Directeur-Général de Tumblr. Il a arrêté l’ école à l’âge de 15 ans pour travailler dans la programmation informatique. En 2007, il crée son bébé Tumblr qui devient très rapidement un concurrent potentiel aux réseaux sociaux déjà existants, comme Facebook ou Twitter. Cette plateforme de micro-blogging permet à chacun de publier des textes, des vidéos, des photos ou juste des liens. A l’ instar de Twitter, Tumblr fonctionne avec un système de follow/unfollow.

En gros, on s’ abonne à autant de pages que l’on veut. Parmi les particularités, on remarque qu’ il y a très peu de publicité sur Tumblr, et contrairement à Facebook, il n’ existe pas de zone réservée aux commentaires sous les publications. L’ espace est simplement et entièrement réservé à l’ expression de soi, quelle qu’en soit la forme et à la création de contenus. Utilisé majoritairement par des jeunes, il n’ est pas rare de trouver des comptes officiels de marques, de photographes, de groupes de musique…. Même les politiciens s’y mettent : Barack Obama a son Tumblr ! Ce qui a vraiment fait le succès de ce blog, c’est la facilité avec laquelle on peut l’ utiliser et avec laquelle on peut « rebloguer » ou reposter des contenus en cliquant tout simplement sur un bouton ainsi que la possibilité de poster ces mêmes contenus sur les autres réseaux sociaux.

Tumblr, mode d’ emploi Pour s’ inscrire, pas de long formulaire à remplir : une adresse mail, un mot de passe, un pseudo Tumblr. Ensuite indiquez votre âge, acceptez les termes d’ utilisations, tapez le captcha code et c’ est parti ! Le compte créé, il faut le customiser selon vos envies : vous choisissez l’ apparence de votre Tumblr et puis vous devez sélectionner vos centres d’ intérêts dans une longue liste pour que des blogs à suivre puissent vous être conseillés. Comme dit précédemment, vous pouvez « follow » toutes les pages que vous voulez et vous pouvez les « unfollow » à tout moment. Après avoir choisi un nom pour votre blog, vous voyez alors apparaître « un tableau de bord » -l’ équivalent d’ un fil d’ actualité sur Facebook- ainsi qu’’une page défilante où apparaissent les posts des personnes que vous suivez (du plus récent au moins récent). Vous pouvez alors commencer à bloguer à votre tour ! Cinq ans après sa création, la plateforme américaine revendique un peu plus de 33 millions de bloggeurs et des milliards de posts. Elle est entrée dans le classement des dix sites les plus visités aux Etats-Unis.

Les chiffres de croissance de Tumblr sont plus importants que ceux de Facebook ou Twitter. Pourtant, elle ne recense que 2% d’ utilisateurs en France. La version française a été lancée en Février 2012. Tumblr vise la rentabilité en 2013 et pour cela met en place un système de publicité en ligne notamment sur la version mobile. Alors, on s’y met les amis ?

Le nouvel outil de Facebook : Audience Insights

(Mai 2014)

L’annonce a été faite il y a quelques jours Outre Atlantique : Facebook lance les « Audience Insights ». L’objectif affiché par ce nouvel outil: définir plus précisément la cible actuelle et potentielle ainsi que l’audience des pages.

Cet outil disponible aux Etats-Unis sera bientôt accessible via nos plateformes européennes.

Qu’est ce que le Facebook Audience Insights ?

Cet outil permet d’obtenir des données extrêmement affinées pour qualifier davantage les contacts. Il permet d’obtenir de manière « anonyme » des informations précises sur des caractéristiques particulières des utilisateurs:

  • Données démographiques : données personnelles des contacts (âge, sexe, niveau d’étude, mode de vie et goûts),
  • Données géographiques : où vit la cible ? quelle langue parle-t-elle ?
  • Likes : les domaines d’interaction de la cible sur Facebook,
  • Utilisation de Facebook : A quelle fréquence la cible utilise-t-elle Facebook et de quelle manière,
  • Habitudes d’achats : en ligne ou en boutique.

La différence essentielle avec les Page Insights est que l’Audience Insights permet d’avoir un regard global sur les tendances autour des clients actuels et potentiels sur Facebook. Facebook assure que cet outil protège l’anonymat des utilisateurs.

Les apports concrets de l’Audience Insights

Pour résumer, ce nouvel outil permet de cibler encore davantage les clients actuels et potentiels pour proposer un message adapté.

L’offre publicitaire de Facebook devient de plus en plus intéressante. En effet, cet outil permettra de compléter de manière efficace le dispositif déjà présent sur ce réseau social. Il permettra de séduire encore plus de professionnels avertis et de développer la notoriété des marques.

WeChat et Line: les réseaux sociaux asiatiques à la conquête de l’Europe

(Octobre 2013)

Les réseaux sociaux font maintenant partie intégrante de la vie des internautes, et c’est donc sans surprise que les géants asiatiques souhaitent également devenir les nouveaux Mark Zuckerberg.

La situation actuelle

Plusieurs plateformes sociales asiatiques ont vu le jour et ont finit par séduire des millions d’utilisateurs. Deux réseaux semblent tout de même prendre la tête pour offrir le même genre de plateforme que Facebook et WhatsApp mélangés : Line (Japon) et WeChat (Chine).

Line est une application nippone lancée en 2011, elle contient un service de messagerie instantanée et un réseau social. Elle a conquis l’archipel et compte environ 230 millions d’utilisateurs répartis dans 230 pays. L’application revenant à plus de 100 millions d’euros, fut conçue le lendemain de la catastrophe de Fukushima pour compenser les lignes téléphoniques coupées, les Japonais communiquaient uniquement via internet.

WeChat est le rival chinois de Line, et propose le même service, avec un style moins « kawaii » (mignonne) que l’application japonaise, mais tout aussi talentueuse. WeChat a attiré plus de 500 millions d’utilisateurs dont 100 millions en dehors de leurs frontières et 15 millions rien qu’en Espagne.

En deux ans, ces étoiles montantes d’internet se sont différenciées par une simplification de l’espace regroupant les fonctionnalités de Facebook, Skype et WhatsApp en une seule application.

L’ambition

Comme toute entreprise, ces sites souhaitent s’exporter et venir « challenger » les réseaux occidentaux.

Lee Won-mi, le responsable marketing de NHN, société propriétaire de Line, déclara : « Notre ambition est d’atteindre un niveau équivalent aux grands services globaux comme Twitter ou Facebook ». Line a réussi son entrée en Europe via l’Espagne, puisqu’elle y compte aujourd’hui près de 15 millions d’utilisateurs. L’application a même développé des partenariats avec les icônes sportives tel que le Real Madrid, le FC Barcelone ou Rafael Nadal.

Dans la poursuite de réputation européenne, la course aux personnalités est entamée par WeChat également, qui contacte rapidement Lionel Messi (footballeur argentin jouant au FC Barcelone), qui deviendra l’ambassadeur de la marque. Renaud Édouard-Baraud, PDG de l’Atelier BNP-Paribas Asie et partenaire de WeChat, explique que « Les Français d’origine chinoise ou les Canadiens d’origine chinoise, par exemple, sont vraiment le pont entre la Chine et le reste du monde ». La communauté mondiale sera ainsi touchée par la vague WeChat, grâce aux « ambassadeurs » nationaux.

Pour conclure, ces géants feront leur entrée dans le marché français cette année, et la directrice générale-adjointe de Line Europe-Amérique, Sunny Kim, déclare même que « la version française […] sera lancée avant la fin de l’année ».

Les dessous du Buzz Facebook du moment

(Juin 2013

Et bien c’est chose faite, ci dessous le résumé de notre discussion.

Et pour commencer plutôt qu’un auteur, ce sont 3 auteurs au final dont il s’agit : j’ai nommé Arthur, Guilhem et Jules ,3 jeunes étudiants de Lyon, qui ont gentiment accepté de discuter avec nous pendant une petite heure et qui nous ont raconté leur belle histoire.

La belle histoire de trois potes qui ont monté une page nommée Nuit de Merde comme ca, pour rigoler, et qui est devenue en trois jours seulement le buzz du moment dans Facebook en atteignant plus de 262 000 fans.

Racontez nous comment NDM et tout ceci à commencé :

Nous sommes étudiants à la fac de Lyon, et Arthur avait monté le Spotted de Lyon I, ce dernier comptait environ 1500 fans, c’était sympa, on rigolait bien mais on commençait à s’essouffler un peu et à tourner en rond. Tout ceci nous a donné envie de monter un Spotted plus large, un lieu où on pourrait bien rigoler et où chacun pourrait raconter ses histoires sans tabou, dans un esprit cool et étudiant. C’est de cette idée qu’est née la page Nuit de Merde NDM.

L’idée c’est bien mais comment avez vous fait pour transformer cette page en véritable buzz dans Facebook ?

En fait notre idée était sympa, du coup ont à proposé aux plus grands Spotted de France (+ de 5000 fans) de parler de nous et on a ainsi échangé de la visibilité et des j’aime avec ces grosses pages (environ 20 pages). La sauce a pris tout de suite, les fans des spotted sont des étudiants, et le contenu de notre page était rigolo et correspondait aux attentes des fans. Du coup en 3 jours on a réussi à avoir 1000 j’aime, puis à force de viralité et de partage on est passé à 120 000 fans en 16 heures.

Comment avez vous géré, dans l’instant, ce coup de buzz inattendu ?

Assez mal au début, c’était la folie, on ne s’attendait pas à ca, on n’a aucune formation dans le domaine, on n’est pas développeur ou informaticien, du coup c’était le feu. Par exemple au bout d’une semaine on est arrivé à 50 000 fans et à 262 000 au bout d’une semaine et demie. A trois on gérait au début 4000 messages par jour puis rapidement ça montait entre 10 et 15 000 par jour.

On s’est donc dit que ca allait trop vite et qu’on ne pourrait pas suivre cette cadence, on a donc contacté un développeur (étudiant) qui a commencé à nous monter un petit outil pour automatiser une partie du traitement de tous ces messages. Et pendant ce temps de réflexion, on ne pouvait plus répondre aux messages et ce n’est pas grave les fans continuaient à affluer de toutes parts : + 60 000.

Comment sélectionnez vous les messages qui sont finalement postés sur la page ?

On vise la qualité sur cette page pour que ça continue à être sympa, du coup on vérifiait que le message ne soit pas dupliqué ou présent sur un autre site web et qu’il ne comporte pas de fautes d’orthographe ou de grammaire. Bilan: on publie en moyenne 5 messages sur 350.

Pourquoi avoir changé le nom de votre page pour devenir NSF : Nuit sans Folie ?

Tout simplement parce que nous avons été approchés par VDM qui a souhaité que nous changions le nom de cette page qui était peut être trop proche de cette marque. C’est là que nous avons compris qu’on venait de mettre le doigt dans quelque chose de peut être assez puissant.

D’autant qu’en même temps les statistiques de projection de Facebook nous annonçaient que nous allions à ce rythme atteindre le million de fans dans la semaine. Au même moment, des gens nous ont contactés pour racheter notre page, pour communiquer,…. Bref nous avons découvert que Facebook n’était pas exactement un lieu comme nous croyions et que les coups de buzz comme celui que nous venons de créer attirent les convoitises.

Et alors le bilan suite au changement du nom de la page :

L’effet initial s’est un peu estompé, le rythme est beaucoup moins rapide même si la page NSF Nuit sans Folie compte à ce jour 206 000 fans. Ce qui est incroyable c’est qu’à ce moment là de nombreuses copies de notre page ont eu lieu, copie de l’idée, du contenu ,de tout quoi….Ce qui nous encourage et nous rend le plus fier, c’est qu’une vraie communauté étudiante s’est mise en place autour de NSF, nos fans signalent les pages copiées directement à Facebook (du coup ce dernier les supprime car elles copient l’originale).

Ca veut dire quand même que notre idée a eu de l’écho dans le monde étudiant puisque 90% des fans de NSF ont entre 14 et 26 ans. La résonance est énorme et la page continue à recevoir environ 10 000 fans par jour, et ce, même si on a changé le nom et si de nombreuses copies existent encore.

Quel est votre plus gros regret et votre plus grande fierté sur NSF ?

Notre plus grand regret c’est de voir le nombre de copies de NSF et le nombre de personnes qui ont essayé de surfer sur notre « petit » succès et qui ont tout plagié de notre idée et de nos contenus. On trouve ça vraiment nul.

Notre plus grande fierté, on en a parlé juste avant, c’est d’avoir réussi à fédérer autant de personnes autour de nos valeurs du moment qui sont : l’amusement, le partage, la bonne humeur et la simplicité. Encore bravo et merci à tous les fans de NSF.

Que reste t-il aujourd’hui de cette expérience ?

L’expérience n’est pas terminée, on continue à s’éclater avec de nombreuses personnes qui partagent avec nous leurs Nuits sans Folies…. On a fait rentrer 3 copains comme administrateurs pour nous aider. C’est vrai qu’on nous a proposé beaucoup de choses, mais nous on veut juste rigoler, s’amuser et on n’a aucune envie commerciale, on ne fait pas ca pour être riches. On utilise Facebook à sa juste valeur comme un réseau social fait pour s’éclater et partager des expériences. Voilà ce qu’est Nuit Sans Folie.

En tout cas merci à Vu du Web qui nous a gentiment donné la parole sur son blog pour faire connaître et partager notre expérience. Nous restons volontairement cachés derrière nos seuls prénoms afin de rester le plus tranquille possible et continuer à nous amuser loin du tumulte du marketing.

Merci à Arthur, Guilhem et Jules d’avoir réservé l’exclusivité de leur interview et de leur communication à Vu du Web.

Nous sommes nous aussi fiers qu’ils nous aient réservé la primeur de l’information. En tout cas nous sommes heureux d’avoir pu échanger avec des jeunes biens dans leur peau, des jeunes qui s’éclatent avec les outils de leur temps et qui utilisent facebook pour délirer avec leurs amis. Ça fait réfléchir quand on exerce dans les métiers du web, et ça permet aussi de voir que des idées simples, bien utilisées et bien portées fonctionnent …

Youtube durcit sa politique de droits d’auteur

(Décembre 2013)

Il y a une semaine, une nouvelle réglementation est apparue sur la plateforme vidéo n°1 : Youtube. Vu du Web vous explique ce qui s’est passé.

Les nouvelles modes de Youtube

Une génération de Youtubeurs et de blogueurs a fait son apparition récemment sur le fameux site communautaire. Celle-ci créé des contenus variés, pouvant aborder de nombreux sujets, mais utilisant souvent des images ou des sons trouvés sur le net.

Quelques-uns en particulier sont touchés :

  • les jeux vidéo : de nombreuses vidéos montraient des écrans de jeux vidéo pendant une partie. L’internaute expliquait alors en direct, les actions à effectuer ou les boutons à actionner.
  • les musiques : de nombreux morceaux de musique étaient remixés et fusionnés dans une vidéo de longue durée.
  • les humoristes du net : des jeunes prenant des vidéos d’eux-mêmes et abordant avec humour des sujets du quotidien. Certains tel qu’Antoine Daniel (pour sa série « What the Cut ») y insèrent de nombreuses vidéos et images trouvées sur le net.

Le changement de réglementation

Mercredi, Youtube a mis en place une nouvelle politique concernant les droits d’auteur et celle-ci a bouleversé le monde numérique.

Aujourd’hui, un internaute qui n’aura pas « créé le contenu » de sa vidéo, n’aura pas « l’autorisation de l’utiliser à des fins commerciales». Sans justification en bonne et due forme, celui-ci ne pourra publier la vidéo sur Youtube.

Ce changement est indéniablement un coup dur pour cette génération de Youtubeurs, vivant des revenus acquis de leurs chaînes.

Pourquoi un tel changement ?

Comme toujours, les nouvelles législations sont mises en place pour gagner plus. Ainsi, pour monétiser ses vidéos, et en générer des revenus publicitaires en fonction du nombre de vues, l’internaute devra être l’auteur de la vidéo en entier.

Comment gérer son e-réputation ? Les conseils de Vu du Web !

(Juin 214)

La récente décision de la CJUE (Cour de Justice de l’Union Européenne) qui a débouté Google, a mis en lumière ceux qui ne connaissaient pas le concept d’e-réputation.

Il fût un temps où l’on ne faisait pas cas des informations véhiculées sur le web :

  • Informations personnelles rendues publiques sur les réseaux sociaux
  • Messages dans les forums
  • Avis de consommateurs/concurrents peu élogieux…

Cette masse d’information quand elle est ignorée devient une sorte de Bad Buzz qu’il est difficile de maîtriser…

Si l’on considère l’immense majorité des acheteurs consultant un avis avant un achat, on peut imaginer qu’il en est de même dans un recrutement ou encore dans des transactions entre partenaires professionnels. Bref, l’image qui est associée à votre nom ou à votre marque doit être irréprochable.

Conseil 1 : Soyez extrêmement vigilant avant de vous dévoiler sur le web

On peut facilement considérer que la personne / la marque, est la première pourvoyeuse d’information qui peuvent à terme se retourner contre elle. Soyez extrêmement vigilant quant aux contenus qui sont diffusés. D’où l’importance de faire gérer sa réputation par un professionnel du community management .

Conseil 2 : Contrôlez les canaux de diffusion

Mieux vaut une absence d’information qu’une information mauvaise ou négative. L’absence d’information vous laissera le bénéfice du doute. Une mauvaise détournera tout prospect et toute chance de conclusion dans un avenir proche.

Conseil 3 : Ne laissez jamais d’avis négatif sans réponse

L’idée est ici de répondre à la critique. En effet, l’absence de réaction face à des remarques négatives ou des commentaires péjoratifs ne laissera pas place au doute pour le consommateur. Il est primordial de répondre et de montrer une réelle prise au sérieux des remarques faites.

Conseil 4 : Incitez clients et partenaires à donner un avis positif

On sait qu’en moyenne un client satisfait en parle à 2 personnes, un client mécontent en parle à 10. Chiffres à l’appui vous aurez donc plus facilement des critiques que des avis positifs. N’hésitez pas à encourager les clients (réels) à communiquer sur vos prestations.

Conseil 5 : En dernier recours, utilisez le formulaire de droit à l’oubli de Google

Si rien n’y fait, si vous avez payé votre dû à la société, que vous voulez voir disparaître des informations ou que vous souhaitez tourner la page, ce formulaire largement plébiscité est à votre disposition.

Conseil 6 : Contactez-nous !

Manque de temps ? Pas assez de ressources en interne pour garder un œil sur votre e-réputation ? Notre agence de webmarketing à Montpellier se tient à votre disposition pour vous apporter son expertise et ses conseils !

Coup de pouce pour le partage Facebook

(Juin 2013)

Influencé par la performance des autres réseaux sociaux mais aussi par souci d’augmenter ses revenus, Facebook enrichit ses fonctionnalités en combinant les meilleures tendances de partage. Dans son évolution perpétuelle, la fonction « partage » de la plateforme, prend une nouvelle dimension avec quelques mises à jour dans ses fonctionnalités. Ces modifications permettent de suivre le credo de la plateforme : le pouvoir de partager pour rester ouvert et connecté.

Le nouveau partage sur Facebook

La nouveauté de partage est la fonctionnalité étendue : « Partager cette page avec plus d’amis », qui incite les utilisateurs Facebook à partager une page avec leurs contacts. En effet, l’administrateur de la page n’est plus le seul à pouvoir « inviter des amis », ce qui permet une propagation rapide des pages. Un bon coup de pouce de la part de votre réseau de fans est donc possible pour promouvoir votre page et vos informations.

Le partage a un impact important, puisqu’il permet l’affichage du lien sur le fil d’actualité des contacts, et augmente donc la visibilité de la page. Il a également pour fonction d’attirer l’attention du plus grand nombre, et idéalement d’encourager la viralité de l’information et faire le buzz.

L’arrivée du hashtag

Une mise à jour de Facebook qui n’a pas manqué de continuer, car si partager était propre à Facebook et le hashtag (#) propre à Twitter, cela n’est plus le cas !
En effet, la plateforme sociale vient de mettre en place ces liens cliquables normalement réservés au micro-blogging. On le sait bien grâce à Twitter, le hashtag favorise la conversation publique et le partage d’intérêt commun.

Même si les utilisateurs Facebook n’avaient pas attendu la mise en place de ces liens pour utiliser le célèbre symbole, celui-ci n’était pas lié à une adresse net. Cette innovation permet une nouvelle forme de communauté regroupée par centre d’intérêt.
Suivant ce phénomène de mode efficace, Facebook a maintenant rattrapé son retard en ajoutant une nouvelle dimension au partage pour ses utilisateurs.

Rencontrez des professionnels proches de vous grâce à l’application AHEAD

(juillet 2014)

La start-up Soolars Ventures LLC, basée en Californie et fondée en 2008 a édité une nouvelle application de mise en relation professionnelle : Ahead. Cette application fonctionne de la même façon que Tinder, une application dédiée aux rencontres amoureuses qui géo-localise les femmes et les hommes près de chez vous et avec qui vous pouvez ensuite communiquer. La différence : proposer des personnes possédant des compétences professionnelles en lien avec les vôtres.

Vous l’avez compris, il n’est pas question de rencontrer son âme-sœur mais son futur partenaire professionnel.

Les réseaux sociaux professionnels

A l’ère du numérique, les réseaux sociaux sont devenus incontournables.

  • Linked In,
  • Viadeo,
  • Xing,
  • Ziki,
  • 6énergies ou
  • Piwie…

Ils sont nombreux et « Si vous n’avez pas votre profil sur LinkedIn, vous n’existez pas. » Fortune Magazine.

Repérer un profil professionnel en utilisant les informations et les recommandations de son réseau de contacts n’est pas un nouveau procédé mais tout est désormais numérisé et la prise de contact s’effectue en quelques clics.

LinkedIn reste le réseau professionnel le plus populaire en France. Début 2013, le site revendique plus de 200 millions de membres issus de 170 secteurs d’activité dans plus de 200 pays et territoires.

Comment fonctionne l’application Ahead

Téléchargeable sur l’Apple Store et sur Android, l’application n’est disponible qu’en anglais pour le moment. Découvrez comment l’application fonctionne en quatre étapes :

1. Ahead vous présente des professionnels près de chez vous

2. En gardant votre anonymat, AIMEZ ou PASSEZ la personne recommandée par l’application

3. Si vous aimez et que vous voulez rentrer en contact, alors c’est une réussite !

4. Discutez avec cette personne grâce à l’application qui possède un système de « Chat »

Une application qui risque de faire des émules !

De l’usage des médias sociaux dans la communication d’une entreprise.

(Juillet 214)

Toute la sphère numérique est aujourd’hui un incontournable de notre quotidien. C’est ainsi que les entreprises ont du adapter leurs moyens d’échange et de communication à cette nouvelle donne. Elles ont dû se tourner vers les technologies numériques afin de se mettre en avant et de se développer.

Mais que sont les médias sociaux ?

Souvent et à tort assimilés aux seuls réseaux sociaux, la catégorie des médias sociaux est beaucoup plus étendue. Les réseaux n’en sont qu’une petite partie. On y retrouve des plateformes :

  • de localisation
  • d’échange
  • de jeux
  • de publication
  • de partage…

Comme leur nom l’indique, ce sont avant tout des médias. Les contenus sont beaucoup plus larges que ceux des réseaux sociaux qui quant à eux ne sont que des outils de diffusion d’informations courtes ou des relais d’articles ou de photos. Dans les médias sociaux apparaissent également tous les blogs professionnels, utilisés par les entreprises pour notamment :

  • Faire valoir leurs actualités et ainsi développer leur notoriété,
  • Développer de l’information à destination de leur clientèle. Cette information touche à la fois à l’entreprise et aux produits qui y sont proposés.
  • Développer la communauté et fédérer les individus autour de la marque
  • Et créer un contenu pertinent sur leur site dans une perspective de référencement.

Quel est l’intérêt pour une entreprise d’user des médias sociaux ?

Véritable vitrine de l’entreprise, l’usage des médias sociaux est aujourd’hui incontournable pour faire vivre une structure.

Ce type de communication apporte une réelle proximité avec la cible et une influence positive en termes d’image. En quelque sorte, un blog humanise la communication d’une entreprise.

En outre, faire le choix de créer et d’alimenter un blog d’entreprise aura des effets positifs indéniables sur votre référencement.

Pour finir, un blog est un outil où de courts billets sont suffisants pour offrir un contenu qui pourra valoriser tout autant la marque que ses produits.

Facebook vs Twitter : quelle est la différence ?

(Octobre 2013)

En entrant en bourse en Septembre dernier, Twitter va retrouver son rival Facebook. Lancés à deux ans d’intervalle, l’un en 2004 et l’autre en 2006, ces deux réseaux sociaux populaires se livrent une rude concurrence. Pendant longtemps Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, a pris de haut le petit oiseau. Twitter ne représentait pas une menace réellement sérieuse. Aujourd’hui les deux géants de la Silicon Valley sont devenus adversaires.

Au pays des réseaux sociaux…

Facebook, c’est un milliard d’utilisateurs actifs, 2 milliards d’éléments partagés et 2,5 milliards de « like » chaque jour.

Twitter, c’est 500 millions d’utilisateurs dont environ 180 millions actifs, et 350 millions de tweets quotidiens . 60 % des membres des deux réseaux se connectent via le mobile.

Deux géants qui règnent sur le nouveau monde : le social média.

Une surveillance réciproque…

Facebook s’inspire beaucoup, depuis quelques temps, de Twitter dans ses innovations. Avec, par exemple, la reprise du fameux principe du « hashtags », ces mots-clés qui permettent de suivre facilement des conversations. Le réseau social de Mark Zuckerberg essaye également les « trending topics », l’outil qui permet le classement des sujets les plus populaires. Enfin, on retrouve également le principe des « followers » de son concurrent, en créant un système d’abonnement aux pages de personnalités.

Mais Twitter ne se laisse pas faire ! Suite au rachat d’Instagram par Facebook en 2012, le réseau social de Jack Dorsey a coupé l’intégration du service de partage de photos de son site, puis a bloqué la possibilité de retrouver sur Instagram ses contacts Twitter. Jack Dorsey n’a pas apprécié la trahison de son protégé Kevin Systrom, créateur d’Instagram…

Un match (difficile à prédire)

A première vue, le match entre Facebook et Twitter serait déséquilibré. Le premier possède plus d’un milliard de membres actifs, le second 200 millions.

Mais ils ont élaboré le même modèle économique. Ils cherchent à attirer des annonceurs en leur proposant de publier des statuts Facebook ou des tweet sponsorisés. Ainsi, l’essentiel de la compétition ne se situe pas dans le cœur de service, mais dans le marketing et la publicité.

Construits sur le même modèle, Twitter et Facebook se retrouvent souvent à se disputer les mêmes partenaires et annonceurs. Ils veulent notamment se développer dans l’univers de la télévision, pour capter une partie du chiffre d’affaires de la publicité audiovisuelle.

Dans le mobile, nouvelle tendance pour les marques, Twitter a connu une progression plus rapide que Facebook. Mais le réseau social s’est depuis rattrapé. Cette année il captera plus de 15% de la publicité mobile dans le monde, contre 2% seulement pour Twitter.

”L’important, c’est de rester concentré, quitte à ce que parfois le marché ne suive pas tout de suite ”, a déclaré Mark Zuckerberg à propos de l’entrée en bourse de Twitter. Voilà un conseil qui reflète le combat, en somme, pacifiste que les deux géants des réseaux sociaux se livrent aujourd’hui.

Pour le plus grand plaisir des socionautes !

Pulse version Linkedin : le blog professionnel par excellence ?

(Décembre 2015)

Tout commence en avril 2013, lorsque Linkedin, le réseau social professionnel, rachète Pulse, une plateforme de blogging. L’intérêt dans tout ça ? Très simple : Linkedin souhaitait offrir aux personnes influentes, les fameux « leaders d’opinion », l’opportunité de partager des articles professionnels pour faire profiter les utilisateurs d’une expertise sur un domaine spécifique et faciliter leur veille informationnelle.

Linkedin Pulse démocratisé

Une fois ce mariage consommé en petit comité, Linkedin a décidé d’ouvrir son application à tous ses utilisateurs début 2015. Il devient alors possible de partager ses opinions tout en renforçant sa réputation dans un domaine spécifique. L’utilisateur peut alors légitimer son expertise en essayant de devenir à son tour un leader d’opinion. Il est important de préciser que cette fonctionnalité est en cours de lancement par les services de Linkedin. Certains utilisateurs français n’auront pas encore l’opportunité de publier des articles via Pulse.

Publier en un clin d’œil grâce à Linkedin Pulse

Actuellement, sur votre flux d’actualité, vous avez le choix entre partager une nouvelle ou publier une photo. Une fois que vous aurez accès à Pulse, une 3ème proposition apparaîtra : Publier un article.

Après avoir choisi la dernière suggestion, vous verrez une interface s’afficher. Vous devrez ensuite renseigner :

  • Votre titre
  • Votre article, sans limitation de caractères et optimisée avec des balises
  • Votre image, avec une dimension de 698×400 px selon la recommandation de Pulse.

Votre article sera alors disponible sur les résultats de recherche Google ainsi que sur votre profil Linkedin, sous l’onglet « publications ».

Vous voilà désormais familiarisé avec le nouvel outil de Linkedin. Il ne vous reste plus qu’à vous positionner sur un domaine propre à vos connaissances en proposant du contenu unique et de qualité. Alors, tous à vos claviers !

Quand prendre la parole sur les 3 principaux réseaux sociaux ?

(Août 214)

Tout le monde s’est posé un jour la question. Quand poster ? Quand tweeter ? L’intérêt d’une présence sur les réseaux sociaux est d’être vu, d’être lu, d’être relayé.

Chez Vu du Web, nous sommes spécialisés dans le community management et donc dans la prise de parole sur les réseaux sociaux.

  • Chaque réseau a sa cible.
  • Chaque réseau a ses codes propres.

Il est indispensable de respecter les contraintes des différents réseaux pour obtenir le maximum d’engagement sur vos publications.

Voici un point dédié aux heures de partage et aux moments idoines pour communiquer.

Nous vous donnons ainsi les créneaux sur lesquels vous orienter. Quels éléments prendre en considération ? Comment être le plus efficace ?

Si ces créneaux sont connus de tous les professionnels du web, le corollaire est une concurrence acharnée des autres acteurs pour gagner en visibilité dans ces périodes précises. Cela implique de se démarquer des autres par un contenu pertinent, un ton différent, des visuels attirants.

Bref, il s’agit de ne pas laisser indifférent.

Pour FACEBOOK : quand poster ?

On considère que sur Facebook la visibilité des posts est plus importante : Lundi – Mardi – Mercredi – + le weekend

Les heures :

  • Entre 12h et 14h
  • Entre 17h40 et 18h

Nos conseils de pro :

  • 1 post par jour est suffisant
  • Au minimum 1 post tous les 2 jours au risque de ne plus avoir aucune visibilité
  • Privilégiez le contenu visuel (photos, images..) plus propice à l’engagement

Pour TWITTER : quand tweeter ?

Sur Twitter , on considère que la visibilité des tweets est plus importante : Lundi – Mardi – Mercredi – + jeudi

Les heures :

  • Entre 13h et 16h
  • Entre 17h40 et 18h40. Ne postez plus après 20h.

Nos conseils de pro :

  • La durée d’un tweet est estimée à 2min30. Il est donc important de publier plusieurs fois par jour sans pour autant inonder le flux de vos abonnés.
  • Intégrez mentions (@) et hashtags (#)
  • Placez votre lien à ¼ du message ou à la fin afin qu’il ait plus de chance d’être cliqué.

LinkedIn : un réseau pour les professionnels

(Août 2013)

En février dernier, le site professionnel numéro un installait les « hashtags », permettant aux utilisateurs de suivre l’ensemble des publications faites autour d’un même sujet.

LinkedIn à l’écoute des entreprises

LinkedIn est devenu le premier site professionnel au monde, mais certaines marques se plaignaient de l’impossibilité de commenter et « liker » au nom de leur entreprise plutôt que via leur profil. En effet, le site a mis en place la possibilité pour les administrateurs de pages entreprises, de participer plus avec leurs internautes. Encourager l’engagement de ses followers est bien plus simple lorsque l’entreprise interagit directement avec eux, plutôt que par l’intermédiaire d’un profil.

Une visibilité grandissante

Pour les marques, l’avantage principal est de parler et partager les idées de leur entreprise, tout en affichant le nom et le logo de la société aux yeux des internautes. Les entreprises peuvent désormais contrôler mieux leur visibilité et l’image qu’ils transmettent à leurs clients. La dissociation entre profil et page professionnelle sur LinkedIn était nécessaire, et donne plus de raisons aux marques de se créer une page sur le réseau social . Ce changement se fera progressivement, et sera proposé aux pages directement sur leur fil d’actualité.

LinkedIn encourage de plus en plus les professionnels à joindre leur réseau : statuts professionnels sponsorisés, publicités et discussions dans les groupes/pages. La place de numéro un n’est donc pas considérée comme acquise par LinkedIn, qui compte bien améliorer encore sa position.

Besoin de conseils sur LinkedIn, appuyez-vous sur l’expérience de Vu du Web pour améliorer votre visibilité sur les différents réseaux sociaux.

Plus de limite, c’est la fin du microblogging sur Weibo ?

(Janvier 2016)

Sina Weibo, ou le Twitter chinois, si vous préférez, impose une limite de 140 caractères pour la publication des messages.
Après le projet de Twitter Beyond140 », Sina Corporation, propriétaire de Weibo, a annoncé le lancement à partir du 28 janvier 2016, des comptes payants. A partir de ce jour, vous aurez notamment la possibilité de publier un message non plus limité à 140 caractères, mais à 2000 caractères ! Sur Twitter, la nouvelle limite est de 1000 caractères.

Sina Weibo, le réseau social plus populaire en Chine

Weibo signifie microblogging en chinois. Depuis longtemps, Weibo garde sa limite de 140 caractères chinois pour un Weibo (un tweet), comme sur Twitter.
Déjà en 2013, Sina avait offert un outil pour publier de longs articles. Il s’appelle Chang Weibo (Long Weibo). Grâce à un outil sur la plateforme de blog de Sina, vous pouvez générer une image à partir de votre article, puis la publier en lieu et place de votre long article.

Weibo est un réseau social d’une grande popularité car on comptait 176 millions de comptes actifs par mois fin 2014, soit 36% de plus qu’en 2013, Weibo est déjà devenu une plateforme importante pour le community management en Chine. Weibo a changé la façon dont les gens écrivent sur Internet. Avec la limite de 140 caractères chinois, si vous voulez augmenter la popularité de votre marque sur Weibo, il est très important d’employer des mots faciles à lire et d’ajouter des images pour améliorer la visibilité de votre profil. Mais, si vous avez vraiment besoin de publier de longues informations, Chang Weibo est parfait pour valoriser votre compte. Chaque Chang Weibo, est présenté avec un petit résumé de l’article. Si les utilisateurs veulent lire la suite, il faut simplement cliquer sur l’image. Ça correspond parfaitement aux habitudes des utilisateurs, car il est communément admis que les images sont toujours plus populaires sur Internet que les longues phrases.

Alors, plus de limite de 140 caractères, ça donne quoi ? Ça change quoi ?

Weibo existe depuis quelques années. Il présente tous les avantages qu’un pays en développement peut attendre d’un réseau social : facile d’utilisation (sur ordinateur ou sur smartphone), des messages courts pour donner l’information la plus importante, un maximum de 9 images par message pour gagner en visibilité… Sans doute, Weibo est l’un des réseaux sociaux plus réussis en Chine. Alors, qu’est ce que qu’est-ce que la suppression de la limite de 140 caractères (certes, remplacée par une limite de 2000 caractères) va donc changer ?
La limite de 140 caractères change la façon d’écrire des gens. Cela force à présenter l’information de façon plus courte, plus originale, plus claire. Certaines personnes sont même payées pour créer des blagues moins de 140 caractères sur Weibo. Pourquoi ? Parce que c’est facile à lire. Ça plaît aux utilisateurs.

Et puis, on parle de la langue chinoise. 140 caractères pour la langue chinoise, ça n’est pas beaucoup, mais ça n’est pas très peu non plus. Et avec un peu d’imagination, les utilisateurs ont créé beaucoup de mots particuliers pour Internet. Parfois, les mots créés sur Internet peuvent devenir très populaires. Cette limite ajoute du dynamisme et de la personnalité à la communication entre les utilisateurs. Sans la limite de 140 caractères, les utilisateurs ne rédigent plus vraiment des messages, mais de véritables articles ! Cela menace donc l’apparition de nouveaux mots spécialement pour Internet.

Oui ou Non ?

D’ores et déjà, sur Weibo, la plupart des utilisateurs ont un avis négatif sur la question. Les gens sont trop habitués à créer un petit message et à le publier en à peine 5 minutes. De plus, chaque message sur Weibo passe vite. Imaginez que vous suiviez 1000 personnes sur Weibo et que chaque minute il y a de nouveaux messages de 2000 mots à découvrir… c’est pour cela que les gens privilégient la fraîcheur de l’information à sa densité. Aussi, pour la plupart des utilisateurs, Weibo est une application pour smartphone, ça n’est pas évident de lire un long article sur un petit portable.

Mais, tout ça n’est encore que purement théorique. Ce sont les utilisateurs qui décident si le changement est positif ou non. Qui plus est, avec le temps, les habitudes des utilisateurs changent. On ne sait pas encore comment les choses vont évoluer. Une chose est certaine : Weibo est déjà devenu un réseau social indispensable si vous avez envie d’être visible sur internet en Chine . En tout cas, maintenant, vous pouvez communiquer avec vos clients chinois sur Weibo en plus de 140 caractères…

L’Internet chinois est mystérieux pour qui ne le connaît pas car tout ce qui est connu en Europe n’existe pas en Chine. Pas de Facebook ni de Twitter, mais l’Internet chinois reste cependant très vivant ! Parfois, de nouveaux mots populaires sortent de Weibo, et pour avoir du succès sur Weibo et être proche de la culture chinoise, il faut comprendre et suivre les tendances. Avec sa connaissance de la langue et de la culture chinoises, Vu du Web vous accompagne, pour vous rendre visible sur les réseaux sociaux chinois .

Facebook ajoute la vidéo dans ses publicités mobiles

(Octobre 2013)

La publicité mobile

Les réseaux sociaux et différentes interfaces sociales sont des nids d’informations pour les annonceurs qui peuvent y déposer des publicités en fonction de leurs cibles.

Le groupe Facebook a permis aux mobinautes de découvrir leur application, qui a aujourd’hui convaincu près de 71% de ses utilisateurs actifs.

Un marché immense, qui fut accompagné d’une montée du nombre de publicités et donc de revenus : Facebook a désormais 41% de son volume total de publicité et plus de 656 milliards de dollars de recettes trimestrielles, par les versions mobiles seules.

Les publicités vidéo

Pour continuer la démarche de publicité entamée sur Facebook et Instagram, le groupe a décidé de développer les options de réseaux n°1.

Facebook a ainsi déclaré sur un blog de développeurs: « vous pouvez utiliser la vidéo dans votre annonce d’applications mobiles, pour inciter à les télécharger et les rendre plus visibles sur le fil d’actualité de Facebook sur mobile. » Cette annonce a pour objectif premier d’attirer les annonceurs et les éditeurs d’applications mobiles. Pour l’instant, seuls ces derniers ont la possibilité d’insérer de la vidéo dans leurs annonces de téléchargement d’application.

La possibilité d’insérer une vidéo dans les publicités mobiles, permettra aux développeurs de ne pas être limités à une impression écran. Pour l’instant les vidéos ne seront pas jouées automatiquement, permettant à l’internaute de décider s’il veut cliquer « Lecture » ou non.

Facebook a annoncé que cette nouvelle fonctionnalité sera déployée dans les prochains jours. Qu’en pensez-vous ?

Sebastien Vallat, Directeur général
Photo de profil pour Sebastien Vallat

Ce n’est pas fini !
On a aussi d’autres sujets bouillants

Sinon vous pouvez aussi
réchauffer votre veille

en vous abonnant
sur vos réseaux préférés

Planifiez un appel gratuit